
Téhem, le regard de l’enfance
27 décembre 2012Il n’y a pas si longtemps qu’un de mes collègues récemment dans l’île me confiait ceci : « Samedi, j’ai fait le tour de La Réunion. C’est tout (…)
"C’en est trope !" est une chronique littéraire hebdomadaire qui a pour volonté de faire le lien entre l’actualité et la littérature. Le trope en rhétorique désigne les figures qui détournent les mots de leur sens propre : métaphore, ironie, ou comparaison... "C’en est trope !" car la littérature, la bonne, est métaphore ironique de la Vie. Mais le trope dit et ne dit pas, il est et n’est pas : il dérobe toujours, car en philosophie, il est l’argument qui démontre l’impossibilité d’atteindre la vérité.
Il n’y a pas si longtemps qu’un de mes collègues récemment dans l’île me confiait ceci : « Samedi, j’ai fait le tour de La Réunion. C’est tout (…)
On oublie trop que la mythologie, souvent confondue aujourd’hui avec les contes et les légendes, était vecteur de connaissance, et que l’ancienne (…)
Inscrit dans le titre même de l’ouvrage, la géographie romanesque se place au centre de la fiction. En réalisant, dans La Mare au diable , la (…)
C’est Gripari, l’athée, qui m’a fait aimer l’idée de Dieu. Ses preuves de l’existence de la divinité étaient des gateaux à la crème ils (…)
L’épervier glapit, miaule, piale, pipe et tiraille, tandis que la grue claquette, craque, craquette, glapit et trompette... Alors, quand le (…)
Ils passent, ils passent, mais que lisez-vous, là-bas, planeurs, voleurs de mots, parcoureur d’espaces, arpenteurs, dans ces nuages qui (…)
(100e de C’en est trope !) Sentier littoral de Sainte‑Suzanne. J’aime ces endroits construits pour se promener, avec comme spectacle le gouffre (…)
Les albums grammaticaux d’Anne-Marie Gaignard ramènent à une anecdote qui porte sur le psychanalyste Jacques Lacan et sur le fond de son travail. (…)
Dis, papa, d’où vient la différence ? Au début, tous les animaux étaient pareils. C’était bien... Non, c’était monotone. On mourait d’ennui. Et en (…)
La fin ne justifie pas les moyens, jamais. Excepté en littérature. De Joseph Conrad, le lecteur reconnaît son fameux commencement flottant, le (…)
« La rêverie a quatre domaines, quatre pointes par lesquelles elle s’élance dans l’espace infini ». Gaston Bachelard positionne sa critique de (…)
Elle lui raconte un cauchemar pour le quitter. « Tu me trompais, tu téléphonais dans mon dos. Je t’ai attendu dans la voiture, tu m’as dit que tu (…)