Il va falloir se dire que toutes ces guerres que l’on engage, jusqu’à parfois les créer de toutes pièces, ça a un prix. Et pas seulement en vies humaines…
Je l’avoue : je ne comprends pas grand-chose à cette histoire (que l’on dit gravissime) d’un plafond de dettes de 14.000 milliards de dollars qui, telle une épée de Damoclès particulièrement lourde et acérée, serait actuellement suspendue au-dessus de l’économie du gendarme du monde que sont, par eux un jour proclamé, les puissants États-Unis d’Amérique. Si, comme le commun des mortels que nous sommes, nous essayons de lire entre les lignes, il semble, s’agissant de l’endettement intérieur (…)