C’en est trope !
Charles Angrand et l’autorité (7) : Ambroise Vollard et les marchands
Souvenirs d’un marchand de tableaux d’Ambroise Vollard, éditions Albin Michel.
Charles Angrand a fustigé depuis ses débuts l’autoritarisme du marché de l’art dont il décrit les différents rouages auprès de ses correspondants Charles Frechon en premier, dès 1893, puis en direction de Maximilien Luce. Au reste, les pratiques n’ont guère changées. « À Paris, renseigne-t-il son ami rouennais, on vend très cher ou on ne vend pas. On a une cote commerciale où on reste, quand on n’est point (…)