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27 octobre 2008
L’ONU a célébré vendredi dernier la Journée des Nations Unies sur fond de crise financière mondiale dont les répercussions suscitent la préoccupation du Secrétaire général, Ban Ki-moon, qui a appelé à maintenir l’esprit d’initiative et de partenariat et à ne pas oublier la lutte contre la pauvreté et le changement climatique.
« Je suis profondément préoccupé par les répercussions de la crise financière mondiale. Jamais l’esprit d’initiative et le partenariat n’ont été plus importants », a déclaré M. Ban dans un message à l’occasion de cette Journée célébrée chaque année le 24 octobre. L’ONU a 63 ans cette année.
Il a rappelé que le monde se trouvait à mi-parcours de ses efforts pour atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) d’ici à 2015 et il s’est inquiété du nombre important de pays qui ont pris du retard. Il s’est toutefois félicité du succès du Sommet sur les OMD à New York fin septembre et des 16 milliards de dollars promis.
« Maintenons le cap pour continuer d’avancer dans cette voie. Nous n’avons pas de temps à perdre. On attend des Nations Unies qu’elles donnent des résultats, pour l’avènement d’un monde plus sûr, plus sain et plus prospère. A l’occasion de cette Journée des Nations Unies, j’en appelle à tous les partenaires et à tous les dirigeants pour qu’ils assument leur part de responsabilité et tiennent leur promesse », a dit M. Ban.
Le Secrétaire général a discuté jeudi avec cinq économistes éminents, dont le Prix Nobel d’Économie Joseph Stiglitz, sur la situation économique internationale et notamment les difficultés auxquelles sont confrontés les pays en développement dans le contexte de la crise financière mondiale.
L’échange de vues a porté sur les scénarios économiques pour 2009 et les réponses politiques éventuelles pour limiter la profondeur et la longueur du ralentissement économique attendu, selon une déclaration transmise vendredi par la porte-parole du Secrétaire général. La discussion a également porté sur les pays en développement, à la fois les pays émergents et les pays les moins développés.
M. Ban a insisté sur la nécessité de continuer à faire des objectifs pour le développement et de la lutte contre l’extrême pauvreté et le changement climatique des priorités. Les participants sont tombés d’accord sur le fait que l’époque de l’autorégulation du système financier était terminée et que les institutions financières multilatérales ne pouvaient continuer à fonctionner comme elles le font actuellement, selon la déclaration.
La crise financière mondiale devait également être vendredi au centre de la réunion bisannuelle du Conseil des chefs de secrétariat du système des Nations Unies.
Dans un point de vue publié cette semaine dans plusieurs journaux dans le monde, le Secrétaire général souligne qu’il est possible de relancer l’économie mondiale tout en luttant contre le changement climatique.
« Des économistes aux Nations Unies appellent à un New Deal vert, en écho à la vision stimulante du président (américain) Franklin Roosevelt lors de la Grande dépression des années 1930 », écrit-il dans ce point de vue.
« Nous savons que les plus vulnérables au changement climatique sont les plus pauvres des pauvres de la planète. Ils sont aussi les plus vulnérables aux chocs de la crise financière. En tant que dirigeants mondiaux, nous avons un devoir moral de nous assurer que des solutions à la crise financière mondiale protègent les intérêts de tout le monde, pas seulement ceux des citoyens des nations plus riches », ajoute-t-il.
Selon le Secrétaire général, « une solution à la pauvreté est aussi une solution pour le changement climatique : une croissante verte. Pour les pauvres dans le monde, c’est la clé d’un développement durable. Pour les riches, c’est le chemin de l’avenir ».
Au-delà de la crise mondiale, la Journée des Nations Unies a été célébrée un peu partout à travers le monde. En Russie, elle a été l’occasion de marquer le 60ème anniversaire de la présence de l’ONU dans le pays. A New York, 3.500 élèves ont reçu une présentation des activités de l’ONU par des responsables des Nations Unies, qui ont également partagé leur propre expérience et répondu à leurs questions.
En Haïti en revanche, il n’y a pas eu de célébration de la Journée des Nations Unies. Le représentant du Secrétaire général de l’ONU, Hédi Annabi, a jugé que cela était mal venu en cette période difficile pour le pays qui tente de surmonter les conséquences d’une série d’ouragans qui l’ont frappé cet été.
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