
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
2 septembre 2008
À 19 heures 40 sur Antenne Réunion
Une suite pour deux
Téléfilm français. Avec Richard Berry, Cristiana Reali, Tasha de Vasconcelos, Laurent Ournac...
Julie élève toute seule ses deux enfants. Et pour elle, l’avenir est loin d’être rose : elle ne trouve pas de travail et les huissiers la menacent de saisir son appartement. Alors, quand elle gagne une semaine de vacances tous frais payés dans un hôtel de luxe, elle est persuadée que la chance est en train de lui sourire ! Mais c’est sans compter sur Laurent Rozier, photographe de mode hautain et prétentieux, qui prétend avoir réservé la suite royale gagnée par Julie et qui veut à tout prix la déloger. Elle tient bon et il finit par accepter de partager sa suite avec Julie et ses enfants, mai s c’est pour mieux les décourager et s’en débarrasser : il compte bien faire de leurs vacances un cauchemar. Julie répond à ses attaques, le ton monte, tous les coups sont permis jusqu’au moment où Julie découvre que Laurent est en train de se pendre au lustre de sa suite ! Serait-elle allée trop loin ? Julie apprend qu’Olga, le mannequin qu’aime Laurent et avec lequel il doit travailler dès le lendemain, vient de le quitter. Laurent est désespéré. Il supplie Julie de l’aider à reconquérir Olga. Julie accepte et coache Laurent. Elle se rapproche d’un Laurent devenu bien plus sympathique... Julie n’est-elle pas en train de tomber amoureuse de Laurent ?
À 20 heures 05 sur Télé Réunion
Le Grand Pardon
Film français réalisé par Alexandre Arcady. Avec Roger Hanin, Jean-Louis Trintignant, Bernard Giraudeau, Clio Goldsmith.
À la force du poignet et de la gâchette, Raymond Bettoun, juif pied-noir, est devenu l’un des parrains de la pègre parisienne. Sa famille règne sans partage sur le racket, le crime et la prostitution. Aujourd’hui, Raymond fête le baptême de son petit-fils, sous l’oeil vigilant du commissaire Duché, qui a juré de le prendre au piège. Après avoir réglé à sa façon l’épineuse question du rachat du casino de Biarritz, Raymond s’épanouit d’aise parmi les siens. Il est loin de se douter que son ami Pascal, un petit truand ambitieux, a décidé de le brouiller avec la pègre arabe et de provoquer, pour son plus grand profit, une nouvelle guerre des gangs.
À 22 heures 40 sur Télé Réunion
Faites entrer l’accusé
Proposé par Christian Gerin. Présenté par Christophe Hondelatte. Réalisé par Bernard Faroux.
Khaled Kelkal, "L’ennemi public n°1"
25 juillet 1995 : l’attentat du RER Saint-Michel à Paris fait huit morts et 250 blessés. En quelques semaines, sept autres attentats plongent la France dans la terreur. L’armée est dans les rues, c’est le début du plan "vigipirate". Kelkal est le premier poseur de bombe identifié, et pour les Français un coupable désigné. C’est le début d’une chasse à l’homme sans précédent, jusqu’à ce que Kelkal soit abattu, un soir de septembre 95, devant les caméras de télévision. À travers le récit de la traque de Kelkal, considéré à l’époque comme "l’ennemi public n°1", Christophe Hondelatte revient sur une affaire emblématique d’un phénomène alors nouveau : le terrorisme islamiste et les tentatives pour mettre les criminels hors d’état de nuire.
Parce qu’écrire, c’est tout ce que l’on sait faire et que le journal doit sortir, je vous fais comme chaque jour une sélection de ce qui est regardable à la télé, mais aucun commentaire sur les programmes.
D’autres choses occupent l’esprit de tous les journalistes de "Témoignages" pour vous parler de frivolités. Demain est un autre jour.
Demain la 15
« Au début était le verbe », dit un évangile, loin de moi l’idée de verser dans la bondieuserie à trois balles, ce n’est pas mon fond de commerce, mais le verbe, c’est tout de même ce qui vient juste avant l’écrit ! C’est la première pensée qui m’est venue à l’esprit lorsqu’on m’a appris la nouvelle du décès de Jean-Marcel Courteaud, le boss de notre journal. Normal, puisqu’on est dans la presse.
La seconde idée fut de faire un édito pour rendre hommage à celui qui m’avait embauché, un édito à part de la page Télé. Là aussi, cela aurait normal, mais ce n’aurait pas été moi, et comme Jean-Marcel ne devait pas trop aimer la flagornerie, je me suis dit qu’après tout, comme il est un peu à l’origine de cette page consacrée au programme Télé, je lui rends hommage à ma juste place, là où il m’a mis.
C’était fin janvier 2005, lorsqu’on m’a proposé d’écrire dans les colonnes de “Témoignages”. Rendez-vous était pris au siège du journal au Port. Lucien Biedinger et Jean-Marcel Courteaud sont de part et d’autre d’une table envahie de journaux, Jean-Marcel me dit quelques mots : « Voilà, on veut faire vivre La 15, tu peux t’en charger ? ». « La 15 », c’est la page des programmes Télé, l’avant-dernière page, côté droit, donc extrêmement visible lorsqu’on feuillette un quotidien. Je n’ai pas tout compris sur le coup, aligner des programmes ? Où j’interviens ? J’avais oublié le mot « vie » et c’est Lucien qui me briffe. Il y a une partie programme et il faut y rajouter des commentaires. On te laisse faire pendant une semaine d’essai, « juste pour voir », me confirme Jean-Marcel. Ça tombe bien, la Télé c’est mon "Dada", je suis le roi du zappeur. C’est ainsi qu’est né "Télédécryptages". Les premiers temps, j’ai tâtonné pour donner un ton proche du journal dans lequel j’officiais et chaque fois que je pénétrais rue Emile Rolland, je pensais que sans doute, les critiques allaient pleuvoir, d’autant plus que j’avais adopté la méthode du "rentre dedans" vis-à-vis des chaînes Télé de la place. Eh bien, non ! à chaque fois que j’ai croisé Jean-Marcel à la Rédaction, c’était un sourire mi amusé mi narquois et un « Bonjour, tu vas bien ? ». Aucune remarque, je me suis dit : ça va alors, continue ! Chacun de ses sourires était un encouragement à appuyer un peu plus, comme on dit ici : « appuyer sur la queue pour voir si la tête y bouge ». Alors, lorsque je refais le parcours et tous les messages que j’ai reçus (téléphonés, comme ceux envoyés par e-mail) qui me conspuaient pour mes critiques acides de la Télé, je me dis que Jean-Marcel a du en entendre des vertes et des pas mures sur mon compte, et pourtant, c’était toujours « Bonjour, tu vas bien ? ».
Grâce à lui, je navigue dans tout le monde de l’audiovisuel et je suis reconnu comme le poil à gratter de la Télé. Avant, il y avait bien dans la presse quotidienne réunionnaise des pages Télé, mais sans critiques, juste de temps en temps un article, mais sans plus. Jean-Marcel Courteaud, mine de rien, a insufflé une chronique journalière consacrée exclusivement à la critique de tout ce qui passe dans la lucarne. Il a été à "Témoignages" celui qui a voulu faire vivre "La 15". Depuis, "Témoignages" est le seul quotidien à critiquer la Télévision et tous ceux qui la font, et croyez-moi, cela ne plait pas toujours, mais faudra qu’ils s’y fassent.
Voilà, je ne le connaissais pas plus que cela, c’était celui qui prenait les coups, et pourtant, il ne réclamait aucune médaille, il souriait, c’était beaucoup.
Demain, "La 15" ça continue, je ne pense pas qu’il voudrait que cela s’arrête, je ne le connaissais pas assez, mais je crois que de houspiller les directeurs de chaînes et tout ce que la lucarne compte comme "Gratèr de Ki", ça lui plaisait. Alors, puisque dans l’aquarium, on n’a pas fini de voir des inepties comme des bonnes choses, comme la télé c’est parfois le reflet des injustices, on continue !
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