Charles Angrand : le point sur la correspondance adressée à Maximilien Luce (10)

28 juin 2018, par Jean-Baptiste Kiya

Maximilien Luce, un peintre engagé, dirigé par M. Natier & J.-M. David (article « Angrand et Luce » par M. Lespinasse), éditions Musée de Louviers.

La recherche portant sur la vie et l’œuvre de l’artiste néo-impressionniste Charles Angrand passe par l’étude du corpus de la correspondance qu’il entretint avec ses camarades. L’importance de celle qu’il échangea avec Maximilien Luce, acquise par l’Institut National d’Histoire de l’Art auprès d’un libraire new-yorkais en mars 2010, amène au comparatif avec celle qui fut publiée par M. Lespinasse en 1988, 22 ans plus tôt.
Au sommaire de l’ouvrage, est indiqué 192 lettres pour le seul destinataire, avec un échange qui court de mars 1899 au décès de l’artiste, début avril 1926. Un décompte précis corrige cette annonce : sont reproduites en réalité 210 lettres en direction de Luce.
En regard, la base documentaire AGORHA sur le site de l’INHA recense 2 lots de lettres pour le même destinataire, et indique un nombre de documents que le Département de la Bibliothèque et de la Documentation corrige, à savoir :
1. Autographes 180, 30 – Angrand, Charles : 57 LAS à Maximilien Luce – sous-dossier – Bibliothèque de l’INHA, collections Jacques Doucet (Paris).
2. Autographes 180, 31 – Angrand, Charles : 181 LAS à Maximilien Luce – sous-dossier – Bibliothèque de l’INHA, collection Jacques Doucet (Paris).
Soit un total de 238 courriers.
À ceci près que 3 lettres du lot 180-31 référencées 46 et 47 et 119 ont disparu, sans que l’on sache pourquoi ni comment, du fonds.
Aussi le différentiel négatif de la Correspondance publiée par rapport au fonds de l’INHA se monte-t-il au chiffre bas de 25. 25 lettres d’Angrand sont à ce jour inédites. Pourquoi ? Et que disent-elles ?

- Tableau synoptique avec commentaires critiques -

Jean-Baptiste Kiya

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