
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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3 août 2015, par
Les Jeux des Iles de l’Océan Indien promettaient d’être une belle fête de sport, d’amitié et de fraternité.
C’était malheureusement sans compter sur les calculs politiciens d’un gouvernement en manque de popularité, qui, pour essayer de flatter l’électorat, a provoqué un clash diplomatique. Car si les Comores ont quitté les Jeux, ce n’est pas de la faute des organisateurs réunionnais, ni des autorités comoriennes, encore moins des sportifs de Mayotte ou des Comores : c’est bien de la responsabilité de l’Etat français.
Quelle utilité de créer un tel incident lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux des Iles ? Un mode opératoire avait été trouvé, qui satisfaisait tout le monde, puisqu’il avait été accepté par tous. Alors pourquoi le modifier ? Tout simplement pour essayer un bras de fer avec les Comores, pays parmi les moins riches du monde ? Que l’on souhaiterait que l’Etat français et notre président fassent preuve de la même fermeté à chaque fois que les intérêts français sont réellement bafoués, notamment par l’Union Européenne ou les USA dans le cadre du Traité de Libre Echange ! Mais non, c’est tellement plus facile de montrer qu’on est fort quand on s’attaque à plus faible que soi, qui n’est pas en mesure d’appliquer de réelles mesures de rétorsion. Du coup, les Comores ont utilisé la seule arme qu’il leur restait : le retrait des Jeux.
Qui a gagné dans ce conflit ? La réponse est simple : personne !
Qui a perdu ? L’ensemble des sportifs, qui rêvaient de cette confrontation amicale qu’ils avaient préparée sans ménager leurs efforts. Mais aussi La Réunion, qui passe pour être mauvais organisateur et mauvais hôte.
Franchement, au moment où nous savons que l’avenir de La Réunion passera par une plus grande coopération notamment économique avec nos voisins, on aurait aimé être vecteur d’un autre message !
Faouzia Vitry
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