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7 juillet 2018, par
La mise en application des gadgets gouvernementaux promis durant la campagne électorale est en train de désosser l’éducation nationale : après les dédoublements de classe(cp / ce1) à coût constant, le refus d’utiliser les listes complémentaires et la volonté affirmée de recruter des contractuels, l’instruction obligatoire à trois ans ; a été institué depuis le 12 juin, la mise en place du service national universel sans que les conséquences et la mise en œuvre n’aient été étudiées. Le budget de l’armée étant sanctuarisé, les 2 à 3 milliards nécessaires chaque année seront amputés en majorité sur le budget de l’éducation nationale.
Alors que le bâti scolaire est déplorable, certaines écoles sont ainsi délocalisées pour éviter les effondrements, que les directeurs doivent œuvrer sans aide à la direction, que les ATSEM sont de moins en moins nombreuses dans un certain nombre de communes, que le volume horaire attribué à la surveillance dans les établissements du secondaire se réduit, le ministère trouve les moyens d’abonder budgétairement et philosophiquement ce qui s’apparente à un embrigadement obligatoire pour tous les jeunes à partir de 16 ans dès l’année 2019.
L’avancement au mérite réussit quant lui à museler toute idée de contestation de cette politique liberticide et destructrice, qui se fera au profit d’une mise au pas pédagogique et au détriment des élèves.
Il semble dans notre académie, qui souhaite toujours être à la pointe des désiderata ministériaux et dont les responsables se vantent d’accomplir toutes les demandes que la suppression des CAPD soit déjà actée ; en effet, les mutations par la bande hors mouvement et hors qualification des inspecteurs de circonscription, voire aussi de leur conjointe, sont une pratique institutionnalisée dès à présent, en ce domaine également l’Académie est la bonne élève.
Sonia Delrieu
Pour le SAIPER
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