
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
FIJR
7 juillet 2011, par
Le président de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) est membre du Comité de pilotage du Festival international de la jeunesse réunionnaise, qui aura lieu le 14 juillet 2011 au Scénopolis, à Saint-Louis.
Pourquoi vous êtes-vous engagé dans cet évènement ?
— Parce que j’estime qu’il faut donner de la place aux jeunes, qui représentent la société de demain. Il faut dire que nous, jeunes âgés entre 18 et 25 ans, serons responsables de la société de demain, il faut donc être acteur de celle-ci. Le festival est une étape dans un processus au sein duquel les jeunes prendront toute leur place. Cet engagement est dû à ma mission envers les étudiants, chaque jour les membres de l’UNEF doivent faire face aux difficultés des étudiants, on espère donc beaucoup de ce festival.
Personnellement, après le Festival mondial de la jeunesse et des étudiants de décembre 2010 en Afrique du Sud, je me suis dit que c’était une occasion de voir des gens venus de la zone océan Indien, c’est une chance personnelle d’échanger avec eux et de connaître les problèmes qu’ils rencontrent. Ceux-ci s’avèrent souvent être les mêmes que les nôtres, c’est intéressant de voir comment est-ce qu’ils voient les choses.
Il s’agit également de l’avenir de La Réunion, car le festival peut être une étape importante pour les jeunes Réunionnais, car il existe plusieurs organisations qui peuvent faire entendre la voix des jeunes. Mais ce festival est au-delà des clivages politiques et syndicaux, il va réunir une jeunesse plurielle ou chacun aura sa place. Des jeunes qui viennent d’associations, de syndicats, de partis politiques, des jeunes qui ne sont pas engagés, et qui pourront tous œuvrer et réfléchir à l’avenir de La Réunion.
Selon vous, quels sont les objectifs visés pour le FIJR et La Réunion ?
— Il y a deux objectifs majeurs pour ce festival : faire le constat avec ceux que l’on ne voit pas habituellement, c’est pour cette raison qu’il est important de rencontrer cette jeunesse plurielle. Des jeunes qui ne sont pas engagés et qui sont souvent trop résignés face à la société et au monde. Faire des propositions pour et par les jeunes Réunionnais afin qu’ils s’expriment et mettent en avant leur réflexion, leurs idées et sur leurs expériences pour faire évoluer La Réunion.
D’autant plus que les jeunes ne sont plus accompagnés par le système et doivent aujourd’hui ne compter sur eux-mêmes. Quand on réfléchit à l’avenir et au développement de La Réunion, ce n’est plus une question de politique, mais d’intérêt général, on doit tous se retrouver sur les grandes lignes, tels que la gouvernance, le logement, les transports, l’emploi et entre autres, les relations extérieures.
Comment pensez-vous que les objectifs visés soient mis en place sur le long terme à La Réunion ?
— Pour cela, il faut que chacun accepte de tenir compte de la vision des jeunes. Mais il y a un blocage, un manque d’attention envers les jeunes. Les politiciens parlent des jeunes, mais ne prennent pas en compte leurs besoins et leurs idées. Le festival est l’occasion de faire des propositions et ce seront les politiciens qui devront mettre en place ce que nous, les jeunes, nous demandons.
Propos recueillis par Céline Tabou
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)