Mais que fait donc Jean-Max ?...

27 septembre 2004

Samedi matin, vers 9 heures 30. Un coup de téléphone d’un proche, très proche même puisque, là où je vais un jour d’élection, il est toujours mon suppléant.

Lui : "Dis, il paraît que tu as écrit un article sur Raymond Cazal ?"
Moi : "Tout à fait. Tu as lu ?"
Lui : "Non, c’est Jacques Tillier qui en parle ce matin dans son édito..."
Moi : "Et alors, qu‘est-ce t’en penses ?"
Lui : "Il dit que tu as fait un doux billet, et rien d’autre !... Tu le gardes le “Témoignages” d’hier ?"

Lui pas abonné ? C’est le doute, le reproche à moi formulé. Me vient alors à l’esprit une évidence, l’évidente question : mais que fait donc Jean-Max ?
Oui, que fait-il maintenant qu’il a redressé les finances de “Témoignages”, réorganisé son administration, introduit la rigueur, fait faire une étude de mise en pages, recruté une équipe de journalistes qui savent aussi manier un bon appareil numérique et qui ne sont pas manchots derrière leur PC ?
Oui, que fait-il donc, maintenant qu’il a su mener avec tact l’évolution du journal, sans renier l’apport essentiel de son fondateur et en introduisant cette nécessaire ouverture vers d’autres types de problème, ceux qui font l’essentiel de ce que sera demain ?
Oui, que fait-il ? Mais que fait-il donc ?
C’est à lui, n’est-ce pas, que revient d’élargir le cercle de nos lecteurs et, logique économique oblige, nos abonnés ?
C’est à lui, n’est-ce pas, de mettre en place un circuit de distribution à domicile ?
C’est à lui, c’est à lui, oui, c’est à lui, à lui seul de faire tout ce qui reste à faire.

Raymond Lauret


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