
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
3 septembre 2004
“Chapeau !”
C’est le mot qui me vient à l’esprit après la lecture du communiqué publié mercredi soir par l’Administrateur Supérieur des T.A.A.F. rendant publique la décision de Paris sur les quotas de légine pour la campagne de pêche 2004 - 2005.
“Chapeau” parce qu’il fallait oser, il y a un peu plus de deux ans, imposer au gouvernement qu’une nouvelle société soit agréée pour la pêche à la légine alors que ledit gouvernement prenait, à juste titre, la décision de réduire le T.A.C. (total admissible de capture) au motif que les actes de piraterie mettant en péril la ressource, il importait d’en limiter les prix autorisées.
“Chapeau” aussi parce que, dans nos temps où chacun fait attention à respecter des formes qui garantiraient un minimum de morale aux faits et agissements d’une classe politique trop souvent montrée du doigt par les électeurs, il fallait oser imposer la société dirigée par son propre fils et riche de capitaux issus de sa propre famille.
“Chapeau” encore parce qu’il fallait oser alors affronter - le temps que cela finisse tout de même par se tasser et être oublié - les commentaires de l’opinion publique et les écrits des journalistes, d’ici ou de métropole. Et il y en a eus !!!
“Chapeau” enfin, parce que après seulement deux campagnes de pêche, les choses sont normalisées et Pêche Avenir a réussi son pari : elle est désormais reconnue. La meilleure des preuves : la récente répartition des quotas de légine lui a retiré 38 tonnes par rapport aux 698 qu’elle avait obtenues l’année d’avant !
Vous le voyez bien : il n’y a plus le moindre traitement de faveur consenti par Paris... Tout est définitivement rentré dans l’ordre.
Oui, trois fois oui, “chapeau” Monsieur...
Raymond Lauret
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)