
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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28 janvier 2013
Pour l’heure, à vrai dire, nous ne disposons que de très peu d’informations sur ce conflit armé. Et ce ne sont certainement pas les communiqués divers qui me feront changer d’avis.
En revanche, nous savons à coup sûr qu’à l’exception de quelques timides déclarations de soutien, ni l’Italie, ni l’Angleterre et encore moins l’Allemagne n’ont engagé de troupes au sol. Vue du côté européen, les soldats français sont donc seuls sur le terrain.
Même M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, qui, il est vrai, a « salué une opération courageuse menée par la France », mais émis « certaines réserves ». Quant aux États-Unis, par peur, dit-on, de représailles sur le sol américain, ils se sont également abstenus d’engager leur puissante infanterie.
Le tour des forces « occidentales » en présence étant fait, disons-le aussi tout net : une guerre reste une guerre. Et selon l’agence des Nations unies pour les réfugiés, l’UNHCR, la crise au Mali a d’ores et déjà déplacé depuis l’année dernière plus de 370.000 personnes.
L’UNHCR estime que près de 400.000 personnes pourraient encore fuir le conflit dans les prochains mois. Au total, près d’un demi-million de personnes.
Combien, malheureusement, de victimes innocentes tomberont au « champ d’honneur » ? Combien d’hommes, de femmes et d’enfants seront tristement et inhumainement comptabilisés dans la colonne « dommages collatéraux » ? Connaîtra-t-on le nom et la nationalité de tous les morts ? Se dirige-t-on vers un nouvel Afghanistan ? Enfin, combien coûte et va coûter cette guerre ?
Ces questions trouveront, je l’espère, une réponse. Pour l’heure, le minimum que je puisse faire, c’est d’apporter toute ma solidarité au peuple malien qui manifestait publiquement pour de meilleures conditions de vie.
En effet, si au départ, l’intervention devait stopper la progression des insurgés, désormais, l’objectif est de « libérer » un pays deux fois plus grand que la France, et dont les institutions politiques et militaires sont en lambeaux.
C’est pourquoi il est tout aussi légitime de s’interroger sur encore un point : comment la France peut-elle parler de « protéger les intérêts français » dans cette ancienne colonie française, devenue l’un des pays les plus pauvres de la planète ?
Yvan Dejean
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