
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
18 avril 2012
Devant un parterre d’Africains français et des amis de l’Afrique, de tous âges et de professions variées, Samuel Mouen, le Président de la Diaspora franco-africaine, a ouvert ce dimanche 15 avril à Saint-Denis la séance de la première Conférence des Amis de l’Afrique. L’occasion était propice pour rappeler aux Africains leur devoir civique et leur mot à dire pour la prochaine élection présidentielle, surtout que de plus en plus, certains extrêmes n’hésitent pas à faire l’amalgame entre immigration sauvage et Français issus de l’immigration.
L’occasion de l’élection présidentielle est saisie pour plaider pour de nouvelles relations entre la France et les pays d’où les Français immigrés sont originaires. Avant de développer son intervention et d’ouvrir le débat entre les participants à cette conférence, le président de séance a axé son plaidoyer autour de certains points essentiels, qui ont permis un débat haut en couleur, d’une durée de plus de deux heures. Samuel Mouen a successivement entretenu l’auditoire sur le vote des étrangers aux élections locales, sur des questions concernant la politique africaine de la France, l’immigration et la coopération France-Afrique.
Le but de cette conférence était surtout d’entendre l’avis de chacun des participants sur ces sujets, de faire des propositions aux prétendants à la fonction de président et surtout d’attirer leur attention sur les interrogations, les craintes et le traitement qui sont réservés aux Français issus de l’immigration, sur lesquels on fait porter la responsabilité des crises de la sécurité sociale ou qui s’inquiètent des discriminations, de l’intolérance et surtout de l’incitation à la haine et à la xénophobie.
Après avoir entendu l’intervention du docteur Fassassi, qui évoquait la nécessité d’une entente entre les Africains afin de peser de leur poids dans la désignation du prochain président, les participants à la conférence ont été nombreux à contribuer au débat. Les uns par leurs observations, les autres par des encouragements à enrichir puis à renforcer les liens entre les Africains d’une part et les amis d’Afrique d’autre part, afin que la politique de la France soit visible vis-à-vis des Africains français et vis-à-vis des pays dont ils sont issus.
Certains autres intervenants ont fait des propositions importantes, qui interpellent les acteurs sociaux, les partis politiques et les syndicats à propos des sujets se rapportant à la coopération France-Afrique. Outre les questions évoquées, l’illettrisme, le chômage ou les problèmes de vie chère ont aussi occupé les débats, car ils concernent aussi la vie des citoyens français et ils méritent réflexion.
Les échanges, nombreux et fructueux, ont permis à Samuel Mouen et aux participants de faire un état de la situation des Africains français, de prévoir d’autres rencontres, d’exiger des gouvernants de vraies politiques de coopération avec les pays d’Afrique, à travers un partenariat respectueux et bénéfique aux deux parties.
Enfin, avant de clore la séance, Samuel Mouen, dans son dernier mot, a encouragé à la fraternité puis il a invité les Africains français à ne pas négliger leur devoir citoyen en tant qu’électeurs.
Bienvenu H. Diogo
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)