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5 décembre 2011
Pourtant, dès 1974, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture proclamait qu’à l’horizon d’une décennie — soit en 1984 —, aucun homme, aucune femme, aucun enfant n’iraient au lit le ventre vide.
Pourtant, en 1996, au Sommet mondial de l’Alimentation, les leaders mondiaux réunis à Rome s’étaient engagés à réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées. Un but qui devait être atteint à l’horizon 2015.
Pourtant, en septembre 2000, les chefs d’État et de gouvernement ont adopté la “Déclaration du millénaire” dont un des objectifs majeurs était de réduire de moitié, à l’horizon 2015, la proportion de la population mondiale qui souffre de la faim.
Pourtant, en novembre 2010, et dans le prolongement de cette Déclaration universelle, la présidence française du G20 avait fixé comme priorité la sécurité alimentaire.
Malgré ces déclarations de bonnes intentions des pays riches, le constat est accablant : 1 personne sur 7 souffre de la faim.
Un scandale à l’échelle planétaire qui n’a pas empêché qu’en septembre 2011, sous la pression allemande, le Programme européen d’aide alimentaire doté de 480 millions d’euros soit amputé de 300 millions d’euros.
Par une mobilisation organisée, les associations caritatives ont pu néanmoins faire reculer les dirigeants européens… ces mêmes dirigeants pourtant signataires, la main sur le cœur, de la “Déclaration du millénaire”.
Volatilité excessive des prix des matières premières, importations massives au détriment de l’autosuffisance alimentaire, guerres, spéculation et dérégulation croissante des marchés agricoles : nul ne peut ignorer que ces phénomènes sont à l’origine de la faim dans le monde.
En parallèle, la sous-estimation irresponsable des phénomènes climatiques extrêmes, comme les sécheresses ou les inondations, constitue une autre source de menace bien réelle sur l’ensemble de nos productions agricoles.
Les conséquences de ce drame persistant étaient prévisibles. Les manifestations en sont de plus en plus visibles : aggravation de la pauvreté, accroissement des « émeutes de la faim », guerres civiles, malnutrition grandissante condamnent aujourd’hui 1 milliard d’hommes, de femmes et d’enfants.
Un bilan qui tient du crime de masse, lorsque par ailleurs, sur des mensonges, les États-Unis ont englouti trois mille milliards de dollars dans la seule guerre d’Irak. Plus trois mille autres milliards dans ses guerres impérialistes à travers le monde.
Cela, nous le pouvons l’accepter.
Yvan Dejan,
Membre du secrétariat du PCR
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