
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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10 décembre 2010
On a terminé pour les planteurs et les usiniers, mais il reste encore des cannes sur pied. Les cannes ont bien poussé, mais les coupeurs de cannes ont été peu nombreux ! Je connais des planteurs qui sont allés à la recherche de coupeurs. Ils en ont trouvé de moins en moins. Même avec les machines modernes qui coupent les cannes, il faudra toujours des coupeurs. Les cannes poussent partout, même dans des ravines, entre les galets… Il faut donc des coupeurs pour les couper là où les machines ne vont pas. Et aussi pour les transporter aux bords des routes, pour qu’ensuite elles soient chargées sur les remorques.
Stéphane, planteur, est allé chercher des coupeurs. Il a eu comme réponse : « Combien donnes-tu ? ». Il fait une proposition en rapport avec ce que lui rapporte la tonne de cannes. Le soi-disant coupeur lui a répondu : « Avec mon RMI, cela me suffit largement ». C’est désolant ! C’est le système qui veut cela ! Alors, comme chaque année, Stéphane a laissé des cannes au champ.
On me reprochera de revenir sur le passé, mais je suis quelque part obligé. Je me souviens qu’à 14 ans, pour avoir quelque argent de poche, je n’hésitais pas à mettre de la terre aux petits haricots, aux pieds de maïs, et à couper la canne et à les charger sur le camion ou dans les charrettes. Nous étions payés à la fin de chaque semaine. Nous étions heureux.
Cela ne nous a pas empêchés de réussir dans la vie.
Alors, que nos jeunes aujourd’hui mettent eux aussi la main à la pâte. Quand arriverons-nous à leur donner des responsabilités ? Il nous appartient à nous tous, aux politiques et autres de prendre les choses en mains, de les faire bouger, pour qu’à la place de la violence s’installent le travail et la paix dans le cœur de nos jeunes.
Marc Kichenapanaïdou
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