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S’adapter à +4°C en 2100 en France
11 mars
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a présenté le 10 mars la « version finalisée » du plan d’adaptation au changement climatique.
Attendu depuis la fin de l’année 2023, le plan avait été annoncé comme un des axes majeurs de la stratégie du gouvernement de l’ancienne Première ministre, Élisabeth Borne pour lutter contre le réchauffement climatique. Ce plan s’ajoutait à celui pour la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.
Une cinquantaine de mesures ont été proposé pour préparer la France à un réchauffement pouvant atteindre 4°C degrés. Ce troisième plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) a été jugé insuffisant par certains observateurs. La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a dévoilé la « version finalisée » d’un « ensemble d’actions concrètes pour adapter notre territoire » à l’évolution du climat, selon le gouvernement.
Parmi la cinquantaine de mesures du projet présentées en octobre 2024 figure le renforcement du fonds Barnier, créé en 1995 pour aider collectivités, petites entreprises et particuliers à financer les travaux nécessaires pour réduire leur vulnérabilité aux catastrophes naturelles, pour le porter à 300 millions d’euros. "Insuffisant" pour France Assureurs.
En outre, le gouvernement propose un renforcement des protections pour les travailleurs exposés aux canicules, différentes études et diagnostics pour mieux adapter transports et exploitations agricoles, une évolution des règles de rénovation des logements ou encore une protection des principaux sites culturels français comme la Tour Eiffel ou le Mont Saint-Michel.
Si ce plan présente « un certain nombre de bonnes intentions », il se « heurte au fait qu’on ne sait pas si elles sont financées et comment elles sont pilotées », a expliqué à l’Agence France Presse Nicolas Richard, vice-Président de France Nature Environnement (FNE). « Il montre la bonne direction mais il lui manque une tête et des jambes », regrette-t-il.
+2,7°C en 2050 et +4°C en 2100 en France
Attendu depuis fin 2023, le plan devait être un des axes majeurs de la stratégie du gouvernement Borne pour lutter contre le réchauffement climatique. Il devait s’ajouter aux mesures de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Mais il a été repoussé en raison des diverses échéances politiques, jusqu’à la dissolution de juin 2024 qui l’avait une nouvelle fois différé.
Une consultation publique avait alors été lancée fin octobre 2024 après présentation du projet, qui se base sur une trajectoire de réchauffement de référence à +2,7°C en 2050 et +4°C en 2100 en France.
Des trajectoires réalistes tant les effets du changement climatique se font sentir. En effet, la France a connu des épisodes caniculaires en 2022 et des inondations à répétition en 2024 ayant prouvé la nécessité de s’adapter rapidement.
En juin 2024, le Haut Conseil pour le climat avait jugé que la France n’était pas à la hauteur de l’enjeu, exigeant un « changement d’échelle dans l’adaptation [au changement climatique] ».
Début 2024, la Cour des comptes avait elle pressé les pouvoirs publics de « prendre conscience » de l’urgence de s’attaquer à ce dossier, qui exige selon elle un « mur d’investissements ».
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