
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Réduction des émissions de gaz à effet de serre
5 avril
L’Organisation maritime internationale se réunit à partir du 7 avril dans le but d’approuver des mesures majeures pour réduire les émissions du transport maritime. Mais le consensus semble encore loin.
Les États membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se réunissent afin d’approuver des mesures majeures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) du transport maritime.
Mais le consensus est loin. Le but de ses mesures, que les membres de l’OMI se sont engagés à adopter avant la fin de l’année 2025, est d’atteindre par palier l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050. Cela représente 40% de réduction en 2030 par rapport à 2008, puis 80% en 2040.
Le transport maritime représente près de 3% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon l’OMI. Les désaccords entre États restent cependant profonds avant le Comité de la protection du milieu marin (MEPC-83) de l’OMI la semaine prochaine, qui doit permettre d’obtenir un premier accord attendu vendredi.
Les États-Unis sont la grande inconnue des discussions, le pays ne s’étant pas prononcé sur le sujet depuis l’arrivée au pouvoir de l’administration républicaine.
Il est encore « difficile de dire ce qui va se passer la semaine prochaine », a indiqué Fanny Pointet de l’association environnementale Transport & Environment à l’AFP, car les positions se divisent en trois camps.
Le premier groupe, mené par les États insulaires du Pacifique et des Caraïbes, rejoints par le Royaume-Uni, réclame un système de taxe carbone, dans un principe de pollueur-payeur appliqué aux navires.
Les revenus de ce prélèvement seraient ensuite redistribués en faveur des pays les plus vulnérables au réchauffement climatique pour financer leur transition énergétique. « Le changement climatique est une réalité terrifiante et vécue par mon pays », a indiqué l’ambassadeur Albon Ishoda, représentant des Îles Marshall à l’OMI.
Le deuxième groupe d’une quinzaine de pays, dont le Brésil et la Chine, s’oppose fermement à un système de taxe carbone. Car celui-ci augmenterait selon eux les inégalités entre les pays et mettrait à risque la sécurité alimentaire en accroissant le coût du transport de certaines marchandises de base tel que l’huile de palme, les céréales ou le maïs.
Auparavant favorable au prélèvement carbone proposé par le premier groupe, l’Union européenne propose, elle, une troisième voie, avec la création d’un marché mondial des crédits carbone se rapprochant de sa propre législation déjà existante.
Le groupe de recherche sur le transport maritime et les océans de la University College London (UCL) a estimé qu’un tel système « peut conduire à des conditions de concurrence inégales », favorisant les pays « dotés d’une politique industrielle et d’aides d’États », tout particulièrement la Chine.
Pour le groupe, la transition « la plus rapide et la moins coûteuse » serait obtenue « grâce à une taxe forte sur les émissions », ainsi qu’une norme fixant l’objectif de réduction progressif du fioul et déterminant les carburants alternatifs autorisés ou non.
Fanny Pointet a expliqué qu’en l’absence de critères sur ces carburants alternatifs, certains à base d’huile de palme et de soja, associés à des émissions indirectes à cause de la déforestation, pourraient être utilisés.
Alors que le Brésil défend le rôle clé de ces biocarburants, plus de 60 ONG de protection de l’environnement se sont prononcées contre leur inclusion dans le futur mix énergétique du transport maritime.
Les associations cherchent à favoriser d’autres solutions, comme des carburants synthétiques à base d’hydrogène, actuellement très coûteux à produire, ou les installations sur les bateaux de propulsions éoliennes.
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)