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10 juillet 2007
Les 28 et 29 juin dernier, la société Géode organisait deux journées dédiées aux outils de collaboration et à la stratégie d’IBM Software. Cette initiative intéressante de Jean Sébastien Assens, directeur de Geode a pu voir le jour grâce à un partenariat avec Best’Ware et IBM afin de permettre aux professionnels d’appréhender les enjeux de l’utilisation des applications Lotus Notes Domino 7 sous Linux via une présentation complète dédiée à son installation, mais également de connaître en avant première la prochaine version Lotus Notes Domino 8. Par ailleurs, Monsieur Philippe Bournhonesque, Directeur stratégique d’IBM Software France nous a présenté la vision d’IBM en termes d’application d’entreprise.
Christine Niox-Château est allée à la rencontre de Jean Sébastien Assens, intégrateur, spécialiste des solutions liées à la gestion du document afin d’en savoir plus sur le contenu de ces deux journées.
Christine Niox-Chateau : Pourquoi avoir initié ce programme ? Était-ce difficile à mettre sur pied ?
- Jean Sébastien Assens : Nous organisons, une à deux fois par an, des événements afin de tenir informés nos clients et l’ensemble des professionnels des NTIC, des évolutions technologiques permanentes proposées par les principaux éditeurs autour des logiciels de collaboration, de communication et d’archivage. Dans le cadre de cette politique, nous participons activement au salon Forum NTIC 2007 qui se tiendra les 2,3 et 4 Octobre 2007 aux Villas du récif à Saint Gilles. Ces manifestations sont pour nous indispensables. Grâce à des partenariats forts et historiques avec nos fournisseurs, nous sommes de plus en plus innovants et nous nous inscrivons durablement dans le paysage technologique réunionnais.
Comment la présentation a-t-elle été organisée afin d’être la plus concrète possible pour le professionnel ? (de la théorie à la pratique, les écarts sont souvent surprenants)
- On définit un thème général autour duquel nous organisons des présentations magistrales (conférences) et des présentations sous forme d’atelier. Par exemple nous avons proposé lors des ces 2 journées, une journée de formation gratuite par un consultant Unix/Linux parisien pour montrer et former nos clients à l’installation des solutions que nous proposons sur un système d’exploitation du monde Libre (Linux). Cette formation vient corroborer la présentation de la stratégie d’IBM Software vis-à-vis du monde du logiciel libre.
Quels sont les besoins des entreprises réunionnaises dans ce domaine ?
- Les besoins sont divers puisque nous comptons parmi nos clients aussi bien les grosses organisations (collectivités locales, banques,...) que des structures de 3 à 4 personnes. La demande est avant tout fonctionnelle. Nous devons nous adapter au métier et à l’organisation de nos clients ainsi qu’à l’infrastructure informatique déjà existante. Les applications doivent s’interconnecter, mais nous ne devons pas remettre en cause les outils déjà en place ou contraindre le client sur ses choix futurs. C’est pourquoi nous travaillons sur des standards du marché avec des partenaires qui nous garantissent une évolution et un suivi des applications déployées chez nos clients.
Les professionnels réunionnais sont-ils conscients des apports de l’utilisation de ces outils au sein de leur entreprise (organisation) ?
- Aujourd’hui, les chefs d’entreprise ont conscience de la nécessité d’assurer une traçabilité et une sécurisation des documents numérique et papier. Par contre, ils ont souvent une idée assez floue des outils permettant d’arriver à des résultats concrets rapidement sans imposer des contraintes trop fortes aux salariés. Les solutions étaient, jusqu’il y a peu de temps, très onéreuses et demandaient l’application de procédures très strictes qui n’offraient pas la souplesse de fonctionnement que recherche une PME. Mais nous n’en sommes plus là.
Concernant la collaboration, les projets sont souvent liés à la mise en place de procédures qualités ou des contraintes imposées par le législateur. Les gains de productivité et de performance que ces outils procurent ne sont pas toujours bien analysés par le chef d’entreprise ou par la direction informatique.
Quels échos, retours avez-vous eu de la part des participants ?
- Nous voulions démontrer lors de ces 2 jours l’adéquation entre les solutions d’éditeur et logiciels Libres. Contrairement à certaines idées reçues qui opposent les logiciels du Libre et les logiciels d’éditeurs, IBM nous a brillamment démontré que les deux approches se complétaient très bien et qu’il n’y avait pas à prévilégier l’un par rapport à l’autre par principe. Mais définir ses besoins et ses contraintes et comprendre les possibilités et les limites des deux modes de distribution.
IBM Software, en tant qu’important contributeur du monde libre, croit beaucoup en son développement et a défini sa stratégie sur ce postula. (Il est bien entendu que cette approche n’est pas adoptée par l’ensemble des éditeurs...).
Les entreprises continueront à être demandeur de service (support,...) de sécurité (sur les environnements critiques) et d’innovation. C’est à ce titre que les éditeurs et des prestataires informatiques vont continuer à jouer un rôle majeur, certainement pas dans le cadre de diffusion de licences pour des applications aux fonctions banalisées.
Je pense que cette idée a été très bien perçue et comprise par les participants. Elle répond totalement à la vision que les directeurs informatique et les chefs d’entreprise ont de l’évolution de leur système informatique. En s’appuyant sur des standards diffusés et ouverts, ils veulent recentrer leurs investissements sur des solutions métiers à forte valeur ajoutée (projets d’intégration et de consolidation, formation, développement spécifique, ....) qui leur garantissent des gains de sécurité, de productivité et un retour sur investissement gagnant.
Prévoyez vous d’autres actions de ce type dans les mois à venir ?
- Nous serons bien sur présent au Forum NTIC 2007 de l’Artic. Nous allons relayer les très nombreuses nouveautés lancées cette année et mettre sur le salon un maximum de compétences pour que les visiteurs puissent être renseignés au mieux et partir avec le maximum d’informations pertinentes.
Christine Niox-Château, Chargée de Mission Artic
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