
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Nouvelles technologies de l’information et de la communication
5 octobre 2007
Développer son entreprise, oui, mais avec les TIC. C’est un peu la réflexion menée pendant 3 jours lors de la 2ème édition du Forum TIC proposé par l’ARTIC, l’Association Réunionnaise de Technologies de l’Information et de la Communication. Impossible de ne pas trouver la solution la plus pratique pour son entreprise.
34 exposants, plus d’une quarantaine d’entreprises, 60 conférences et ateliers... l’ARTIC voit les choses en grand pour son deuxième Salon à destination des professionnels et des partenaires institutionnels. Le but ? Être une vitrine presque exhaustive du savoir-faire des professionnels réunionnais.
Notre île compte des professionnels, qui ont su innover, faire évoluer les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC). Aujourd’hui, on peut se féliciter du dynamisme de la filière TIC de La Réunion, toujours en quête de neuf, solidaire des dernières possibilités pour les entreprises, comme pour les particuliers. Cette filière a su trouver une place légitime sur le marché réunionnais, mais se montre aussi encline à l’export. Cela ne se fera pas sans mal. Pendant longtemps, en effet, la filière TIC locale souffrait d’une profonde méconnaissance à son égard. Les professionnels ont vite compris la nécessité de combler cette lacune, et se démarquent aujourd’hui par la Charte Qualité Artic, préparée par sa commission Qualité Image. Il s’agissait de promouvoir la filière TIC réunionnaise, démontrant ainsi une fois pour toutes la qualité de ce qui se fait ici. Par ailleurs, cette charte entend appuyer les entreprises membres de l’ARTIC dans leur démarche d’amélioration.
Le management de la qualité n’est pas inné. Ainsi, ces journées de l’ARTIC se veulent propices à la découverte de nouveaux procédés et facilités. Les entreprises n’ont plus qu’à se frotter les mains. Oui, mais tout cela a un coût.
Où est le grand public ?
C’est surtout un espace de découverte ou de redécouverte des technologies de pointe, nécessaires aux entreprises. Antivirus, vidéosurveillance embarquée, dématérialisation des documents, les dernières avancées technologiques en téléphonie mobile... autant de sujets qui concernent les tissus économique et institutionnel.
Petit bémol cependant pour la manifestation ! Les NTIC concernent aujourd’hui tout le monde. Aussi, aux côtés des entreprises et institutionnels, invités en grande pompe, on s’étonne toujours de ne pas trouver les personnalités du monde social. Que dis-je, au-delà du confinement de ce Salon professionnel, il aurait été appréciable de voir le grand public invité lui aussi. Il en va de l’image même de la filière ! Comment peut-on se passer de la clientèle des entreprises qui, elle aussi, a besoin de comprendre ? Tout avance trop vite. Et l’avancée technologique devra se faire au goût des consommateurs, et non plus seulement selon les besoins toujours croissants des entreprises. Peut-être que les entreprises auraient d’ailleurs aimé voir leurs clients sur ce genre de Forum.
La communication se véhicule par divers médiums. Cela dit, nous ne pouvons que saluer cette initiative, qui a le mérite de faire évoluer une filière prometteuse en termes d’emplois. Demain est davantage une ère numérique. Ainsi, la filière TIC devient naturellement un bassin d’emplois non négligeable, qui devrait intéresser les étudiants, notamment ceux en sortie de cursus.
Le Salon est donc privé, vous l’aurez compris. Attendez avec empressement le prochain Salon de l’informatique, ou courez, pour les plus pressés, chez les enseignes réputées pour leur savoir-faire.
Bbj
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)