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Technologies pour la transformation de l’agriculture africaine
17 août 2022, par
Dans un extrait de sa tribune Prévenir une crise alimentaire en Afrique : la Facilité africaine de production alimentaire d’urgence, Akinwumi A. Adesina, président du Groupe de la Banque africaine de développement, explique comment grâce à la technologie, l’Ethiopie, pays africain de plus de 115 millions d’habitants, n’a pas eu besoin d’importer de blé pour la première fois cette année, et cela malgré la guerre en Ukraine. En 2023, cette technologie contribuera à faire de l’Ethiopie un pays exportateur de blé.
« Lancé en 2018, le programme phare de la Banque africaine de développement, Technologies pour la transformation de l’agriculture africaine (TAAT), qui connaît un grand succès, fournit des technologies sous la forme de variétés de cultures résilientes face au changement climatique — des semences résistantes à la sécheresse, aux températures élevées ou aux ravageurs, par exemple.
En Éthiopie, grâce aux semences de blé résistantes à la chaleur financées par le programme TAAT, les terres agricoles cultivées sont passées de 50 000 hectares à 675 000 hectares supplémentaires en quatre ans seulement. Les semences intelligentes du TAAT permettent à la culture du blé de prospérer dans les basses terres arides de l’Éthiopie, où les variétés de blé ordinaires ne donnent généralement pas de bons résultats.
L’augmentation de la production locale de blé a réduit la dépendance de l’Éthiopie aux importations de blé. Grâce à l’adoption du TAAT, pour la première fois cette année, le pays n’a pas eu besoin d’importer du blé. Avec le soutien continu de la Banque, l’Éthiopie deviendra un exportateur de blé en 2023. Elle exportera plus d’un million de tonnes de blé vers le Kenya et Djibouti. Cela représente suffisamment de nourriture pour nourrir 10 millions de personnes pendant 12 mois. »
Akinwumi A. Adesina, président du Groupe de la Banque africaine de développement
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