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Diminution de l’engagement de l’État dans le traitement social du chômage
15 janvier
La Région Réunion se dit satisfaite de l’engagement de l’État à financer 65 % des contrats PEC dédiés à la lutte anti-vectorielle (LAV), soit environ 400 emplois, face à la recrudescence du Chikungunya. Cependant, elle regrette que les PEC « Emplois-Verts », contribuant aussi à cette lutte, soient exclus. De plus, la prise en charge reste limitée à 10 mois au lieu de 11 précédemment, et l’avenir du financement global des PEC en 2025 suscite des inquiétudes.
La Région Réunion a appris avec satisfaction l’engagement de l’État de revoir à la hausse sa prise en charge des contrats PEC chargés de la « lutte anti-vectorielle » (LAV). Désormais, l’État s’engage à prendre en charge à hauteur de 65 % ces contrats. Ces derniers concernent environ 400 personnes sur l’ensemble du territoire. Dans un contexte de recrudescence de l’épidémie de Chikungunya, l’engagement de l’État est indispensable pour tenter de contrer cette épidémie qui menace sérieusement la population de notre île. Toutefois, la Région Réunion déplore que l’engagement de l’État à hauteur de 65 % se cantonne aux seuls
PEC LAV. En effet, nous déplorons que les PEC « Emplois-Verts », qui, de fait, participent à la lutte anti-vectorielle en réalisant de l’entretien d’espaces verts et ainsi freinent la prolifération de moustiques, ne soient intégrés dans cette mesure.
Force est de constater que cette annonce volontariste de l’État concerne 400 contrats sur l’ensemble du territoire, soit à peine plus de 3 % du volume global, lorsque l’on sait qu’environ 12 000 contrats PEC existent sur notre île ! Sur ce plan, la vigilance est de mise pour que la future loi de finances garantisse pour La Réunion sur l’année 2025, le financement d’un nombre de PEC au moins équivalent à celui de l’an dernier. Les informations dont nous disposons actuellement nourrissent une légitime inquiétude.
Par ailleurs, malgré l’alerte sonnée par l’ensemble des élus du territoire, la durée de prise en charge de ces contrats est toujours réduite à 10 mois, au lieu des 11 mois précédemment en vigueur. Cela n’est pas satisfaisant pour garantir un travail efficace sur le terrain et surtout permettre un retour à une situation d’emploi stable pour les publics concernés.
Laetitia Lebreton, conseillère régionale déléguée aux questions de santé a assisté au COPIL du GIP « lutte anti-vectorielle » présidé par M. le Préfet ce lundi 13 janvier et a exprimé le souhait d’un engagement de l’État à la hauteur des enjeux : « Face au chômage que connaît notre territoire et à l’épidémie de Chikungunya qui se propage, la réponse de l’État doit être sans équivoque. Il convient de faire preuve de responsabilité et ainsi de rétablir un taux minimum de prise en charge de 60 % pour l’ensemble des contrats PEC et garantir une durée de 11 mois pour ces contrats. Ces critères sont indispensables pour garantir la mission première de ces PEC, à savoir, un retour progressif vers un parcours d’emploi stable pour des personnes qui en sont durablement éloignées pour assurer des actions socialement utiles et bénéfiques pour la population et le territoire, et, dans le contexte d’alerte sanitaire, pour permettre une lutte efficace contre l’épidémie de Chikungunya à tous les niveaux. »
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