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Comores : enquête sur l’assassinat du Lieutenant Colonel Combo
2 septembre 2010
Après avoir arrêté trois sous-officiers identifiés comme les meurtriers du Colonel Combo, la justice a entendu plusieurs officiers. La décision du juge de placer le Chef d’état-major, en résidence surveillée après son audition, a fait monter d’un cran la tension dans la capitale.
Dans une conférence de presse le 24 août dernier au sujet de l’évolution de l’enquête sur l’assassinat de Combo, Nidhoim Attoumane, le procureur général de la Cour d’appel de Moroni, a déclaré que « la justice a réuni des éléments de preuve concordante, circonstanciée et irréfutable de nature à démontrer la participation directe des trois individus arrêtés aux faits incriminés ». Le procureur ayant refusé de divulguer l’identité des accusés au nom de la présomption d’innocence et du secret de l’instruction, des tracts ont circulé dans Moroni le lendemain avec les noms et les photos des prévenus.
Ensuite, un ballet d’uniformes et de galons s’est déroulé durant plusieurs jours au bureau du magistrat instructeur. Tous les hauts gradés de l’armée ont été entendus, mais seul le responsable de la logistique au camp militaire de Kandani a été placé en détention à la fin de la semaine dernière.
L’audition du Général Salimou, Chef d’état-major, avait attiré une foule de curieux et de badauds aux alentours du Palais de justice de Moroni. La décision du juge d’instruction de le placer en résidence surveillée juste après l’audition s’est heurtée à l’opposition de ses gardes du corps. Une dizaine d’autres militaires sont venus prêter main-forte au Chef d’état-major pour quitter le Palais de justice et rallier le camp militaire de Kandani. Malheureusement, l’accès à cette principale garnison qui abrite également les bureaux de l’état major leur a été refusé. Le général et ses fidèles se sont alors repliés sur l’Ecole de Gendarmerie où il a été longtemps le directeur. Après son limogeage, d’intenses négociations se sont engagées et, au final, le Général Salimou a accepté le principe de se rendre le lendemain dans sa résidence de fonction où il sera gardé jusqu’au procès.
Selon un militaire en poste à Kandani, ce qui est reproché pour l’instant à l’ancien Chef d’état-major, c’est d’avoir autorisé des sous-officiers à détenir des armes de pointe.
Pour rappel, le Lieutenant Colonel Combo, qui était Chef de Corps de l’armée, a été abattu le 23 juin dernier, au lendemain d’une grave crise au sein de la grande muette durant laquelle la presse a publié des échanges de courriers entre le Chef d’état-major et le chef du cabinet militaire du Président Sambi.
De notre correspondant A. Mohamed
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