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Expulsion des migrants de Mayotte
28 avril 2023
Au début de la journée du 27 avril, les Comores avaient annoncé que les passagers ayant une pièce d’identité pourraient de nouveau débarquer dans leurs ports. Cependant, les rotations sont suspendues jusqu’à nouvel ordre, en raison du contexte actuel.
L’opération Wuambushu est de nouveau à l’arrêt. La compagnie maritime SGTM assurant la liaison entre le département français de Mayotte et les Comores a annoncé ce 27 avril « suspendre les rotations jusqu’à nouvel ordre », en raison des tensions sur la question du renvoi de sans-papiers.
« La compagnie SGTM décide de suspendre ses rotations jusqu’à nouvel ordre, compte tenu du contexte actuel, qui entrave le bon fonctionnement de son activité », a annoncé la compagnie sur Facebook ainsi que dans un message distribué à ses employés et dont l’Agence France presse a eu copie.
Le trafic entre Mayotte et les Comores avait été interrompu avant le lancement de l’opération Wuambushu, le 24 avril, cela avait stoppé la reconduite de Comoriens vers la petite île comorienne d’Anjouan.
Plus tôt dans la journée du 27 avril, les Comores avait pourtant affirmé que leurs ports étaient désormais « en mesure d’accueillir des passagers comoriens et d’autres nationalités » à partir du vendredi 28 avril, a indiqué Mohamed Salim Dahalani, directeur des autorités portuaires.
Ce dernier a indiqué lors d’une conférence de presse au port de Mutsamudu qu’ils « ne débarqueront demain que des passagers qui seront pourvus de leur carte d’identité nationale ».
De nombreux migrants se débarrassent de leurs papiers une fois arrivés en sol étranger, afin d’éviter leur renvoi vers leur pays d’origine ou pour se faire passer pour des mineurs.
« L’Union des Comores n’a pas à payer pour les conséquences d’une opération Wuambushu non concertée », a réitéré le porte-parole du gouvernement Houmed Msaidie, contacté par l’AFP.
Selon lui, le trafic de passagers entre les Comores et Mayotte doit reprendre car « plus de 250 passagers réguliers sont en attente dans les îles ». Mais « aucun refoulé n’a le droit d’être embarqué » sous peine pour la compagnie maritime « de se voir retirer sa licence », a-t-il précisé.
Officiellement, le trafic avait été interrompu par le commandant du port comorien de Mutsamudu pour travaux. Un moyen d’empêcher le bon déroulement de l’opération Wuambushu.
Les Comores ont refusé l’accostage d’un navire en provenance de Mayotte qui transportait des passagers ayant payé leur billet, et des personnes en situation irrégulière. Les autorités françaises, prises de court, avaient dû ordonner au Maria Galanta de faire demi-tour.
Les autorités françaises ont déployé depuis plusieurs jours d’importants moyens logistiques et humains pour déloger des migrants illégaux des bidonvilles de Mayotte dans le cadre d’une opération très controversée baptisée « Wuambushu ». Quelque 1.800 policiers et gendarmes sont mobilisés, dont des centaines de renforts venus de métropole.
« On poursuit à Mayotte les opérations de sécurisation, en particulier dans les quartiers dans lesquels on a les bandes de délinquants », a déclaré le préfet de ce département français de l’océan Indien, Thierry Suquet, après une nuit émaillée de « violences urbaines » à Doujani, dans la commune de Mamoudzou.
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