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Conséquence du cyclone Chido et du refus de l’administration française de reporter plus tard le retour en classe
28 janvier
A peine un mois après le passage du cyclone Chido, le plus meurtrier de ces dernières décennies dans la région, la rentrée scolaire à Mayotte tourne au casse-tête. Paris n’a consenti qu’à un report d’une semaine, insuffisant au regard des lourds dommages matériels et du manque criant d’enseignants, accentué par un mouvement de grève. Les élèves, confrontés à une organisation désastreuse, doivent se contenter de demi-journées de cours, les locaux devant être partagés entre plusieurs établissements sinistrés.
Ce lundi 27 janvier, plus de 118.000 élèves ont fait leur rentrée dans des conditions chaotiques. Six semaines après le passage du cyclone, la situation est loin d’être stabilisée : 3 collèges et lycées sur 33, ainsi que 39 écoles sur 197, restent fermés. L’absence de nombreux enseignants complique davantage la reprise. L’intersyndicale a appelé à la grève, exigeant des garanties sur la sécurité des établissements, une hausse de la surrémunération de 40 % à 75 %, et le versement d’une prime de 2.000 euros pour tous les agents, alors que celle-ci ne concerne actuellement que ceux dont l’indice de rémunération est inférieur à 448.
Un reportage de Mayotte Première montrant l’école maternelle de Bandrélé illustre bien cette rentrée chaotique. Le matin, ses portes sont restées closes. À Nyambadao, dans la même commune, cinq enseignants grévistes sur onze sont recensés et les élèves qui doivent partager les lieux avec ceux d’autres établissements sinistrés. La situation est similaire à Chirongui, où la dizaine d’écoles réparties sur six villages peine à rouvrir.
A l’école primaire de M’Gombani à Mamoudzou, l’organisation est tout aussi désastreuse. Si parents et enfants sont présents, 143 élèves sur 459 ne pourront pas être pris en charge, faute de personnel. Les cours ne se tiendront que jusqu’à 11h, avant de laisser place aux enfants de l’école maternelle voisine, dont les locaux sont inutilisables.
Dans certains établissements comme Labattoir 5, les parents, bien que soulagés de voir les enseignants présents, doivent composer avec des horaires restreints. Les cours ne seront assurés que le matin, l’après-midi étant consacrée à des réunions administratives. A Labattoir 3, de nombreux élèves ont été renvoyés chez eux, les cours n’étant prévus que jusqu’à 10h30.
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