
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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Nouvelle illustration d’un monde qui change aux portes de La Réunion
28 janvier 2015, par
Arrivé le 24 janvier à New Delhi, le président américain Barack Obama a été invité à l’un des événements politiques les plus prestigieux pour les Indiens, la Journée de la République qui marque l’anniversaire de la constitution du pays.
Cette visite diplomatique marque une amélioration dans les relations bilatérales, d’autant plus que le président américain se rend pour la seconde fois en Inde. Pour Barack Obama, « une Inde plus proche des Etats-Unis serait un bon contrepoids à l’influence grandissante de la Chine ».
Depuis le début de sa visite, le président américain a multiplié les signes de complicité avec le Premier ministre Narendra Modi, assurant que les Etats-Unis pouvaient devenir « le meilleur partenaire de l’Inde ». Cependant cette attitude ne changera pas la volonté de New Delhi de s’allier avec la Chine et la Russe.
D’ailleurs, Barack Obama n’a pas hésité à attaquer directement Pékin, en affirmant sa fermeté face aux possibles conflits maritimes dans la région. En effet, Pékin est en conflit ouvert avec le Japon concernant les Iles Sensaku (Diaoyu, en chinois), mais également avec les Philippines.
Envers l’Inde, la rivalité a refait surface ces dernières années vis-à-vis de la frontière contestée dans la chaîne montagneuse de l’Himalaya. Un conflit qui ravit les Etats-Unis et pousse son président à assuré que « les Etats-Unis sont favorables à un plus grand rôle de l’Inde en Asie-Pacifique, où la liberté de navigation doit être maintenue et où les différends doivent être réglés pacifiquement ».
Du côté chinoise, « la mention répétée par Narendra Modi de l’expansionnisme et du terrorisme maritime, soulignant la nécessité d’assurer la liberté de navigation et des droits de survol accrus convient aux États-Unis, qui ont introduit le concept de pivot vers l’Asie » et proposé le Partenariat Trans-Pacifique pour contrer la montée de la Chine », a analysé le Quotidien du peuple.
Barack Obama profite de l’offensive diplomatique de Narendra Modi, arrivé au pouvoir en mai 2014, il se montre déterminé dans son discours face à l’influence grandissante de la Chine dans la région. Un contre qui se note également dans les échanges économiques.
Les échanges commerciaux bilatéraux ont pratiquement quintuplé depuis 2000 pour s’élever désormais à 100 milliards de dollars par an. Washington tient à multiplier ce chiffre par cinq au cours des années à venir. Cependant, Washington réalise près de 560 milliards de dollars par an avec la Chine.
Au dernier jour de sa visite à New Delhi, Barack Obama a appelé l’Inde à s’engager résolument dans la lutte contre le changement climatique. Barack Obama a mis en garde sur le climat, indiquant que « même si des pays comme les Etats-Unis réduisaient leurs émissions, si les pays en croissance comme l’Inde – avec des besoins en énergie en forte croissance – ne se tournent pas vers des énergies plus propres, nous n’avons aucune chance contre le changement climatique ».
Ce dernier a d’ailleurs assuré que « la hausse du niveau des océans, la fonte des glaciers de l’Himalaya, des moussons plus imprévisibles et des cyclones plus forts, peu de pays seront aussi touchés que l’Inde ». Troisième émetteur mondial de gaz à effet de serre, derrière la Chine et les Etats-Unis, l’Inde n’a pas fait part de ses engagements à dix mois de la Conférence mondiale sur le Climat à Paris.
Une position vivement critiquée par Barack Obama, qui a indiqué : « Etre des partenaires globaux implique aussi de s’attaquer au défi global urgent que constitue le changement climatique ». Pour sa part, Nerendra Modi a précisé n’avoir aucune pression par rapport aux engagements récemment pris par la Chine dans le cadre d’un accord avec Washington. En effet, Chine et États-Unis ont scellé un accord inédit sur les émissions de gaz à effet de serre, avec des engagements chiffrés à l’appui.
Un autre point a été mis en avant par le président américain : la diversité au sein de la société et sur le respect des différences religieuses à travers le monde. Pour Barack Obama, « cette question (est) plus importante en Inde que partout ailleurs ».
Fervent nationaliste hindou, La question est sensible depuis la nomination de Narendra Modi, notamment après les accusations des groupes musulmans et chrétiens contre des organisations radicales proches du parti nationaliste hindou (BJP) du Premier ministre, de forcer ou d’inciter des membres de leurs communautés à se convertir à l’hindouisme.
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