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17 février 2024
La Libye reste embourbée dans une crise profonde depuis le report des élections nationales, initialement prévues pour décembre 2021. Des progrès vers des élections crédibles en Libye sont impossibles sans un accord entre les principaux acteurs politiques, a déclaré jeudi l’envoyé de l’ONU dans ce pays d’Afrique du Nord.
La Libye reste embourbée dans une crise profonde depuis le report des élections nationales, initialement prévues pour décembre 2021.
À la complexité s’ajoute la réalité de deux administrations rivales, avec le gouvernement d’unité nationale (GNU) internationalement reconnu basé à Tripoli et le gouvernement de stabilité nationale (GNS) à l’est.
En novembre 2023, pour tenter de sortir de l’impasse, le Représentant spécial de l’ONU, Abdoulaye Bathily, a invité à des pourparlers les dirigeants des cinq principales institutions existantes — le gouvernement d’unité nationale, la Chambre des représentants (HoR), le Haut Conseil d’État (HSC), l’Armée nationale libyenne (LNA) et le Conseil de la présidence.
« J’ai poursuivi mon engagement auprès de ces acteurs majeurs, faisant appel à leur sagesse », a-t-il dit, ajoutant toutefois qu’aucun n’a bougé de sa position initiale.
« Chacun continue d’articuler les conditions préalables à sa participation au dialogue comme moyen de maintenir le statu quo, ce qui — je dois le dire — semble leur convenir », a déclaré M. Bathily.
Le Président de la Chambre des représentants, Agila Saleh, maintient que la question principale reste la formation d’un gouvernement unifié et que sa participation dépendrait de l’implication ou de l’exclusion totale des deux gouvernements, a indiqué M. Bathily.
Le Président du HSC, Mohamed Takala, maintient son rejet des lois électorales telles que publiées par la CdR et appelle à ce que la discussion se concentre sur la relance de la version « initiale » du texte.
Le Premier ministre du GNU, Abdul Hamid Dbeibeh, insiste sur le fait qu’il ne démissionnera qu’après la tenue des élections, ce qui signifie que le GNU supervisera le processus électoral à venir.
Khalifa Haftar, le commandant de la LNA, insiste pour que le GNU et le GNS participent aux négociations, ou que les deux soient exclus.
Le Président du Conseil présidentiel (PC), Mohamed al-Menfi, « ne veut pas être considéré comme un parti, mais est prêt à jouer le rôle de facilitateur pour soutenir mon initiative », a souligné le Représentant spécial Bathily aux ambassadeurs.
M. Bathily a réitéré la volonté de l’ONU d’examiner des propositions susceptibles de conduire à une solution basée sur un règlement pacifique et inclusif.
Il a souligné que le Conseil de sécurité et la communauté internationale ont un « rôle essentiel » à jouer en faisant pression sur les dirigeants libyens pour qu’ils s’engagent de manière constructive.
« L’alignement et le soutien des partenaires régionaux sont particulièrement importants », a-t-il dit. « Les initiatives parallèles ne peuvent être utiles que si elles soutiennent les efforts de l’ONU, de peur qu’elles ne soient utilisées par les acteurs libyens comme un moyen de perpétuer le statu quo ».
Le Représentant spécial et chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Libye (MANUL) a également informé les ambassadeurs de la situation humanitaire et des droits de l’homme en Libye, notant le sort persistant des migrants et des demandeurs d’asile et l’augmentation du nombre de réfugiés en provenance du Soudan.
Sur le plan sécuritaire, des centaines de mercenaires et combattants étrangers tchadiens seraient revenus de Libye au Tchad. Toutefois, la sécurité dans le sud de la Libye reste alarmante en raison des crises au Soudan et dans la vaste région du Sahel.
La « sécurité fragile » dans la capitale, Tripoli, reste également menacée par les acteurs de la sécurité qui tentent d’obtenir un « contrôle territorial » sur les zones stratégiques, où se trouvent les bases militaires et les institutions de l’État, a déclaré M. Bathily.
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