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Yanis Varoufakis en tournée
2 février 2015, par
Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, a assuré dans un entretien à l’hebdomadaire To Vima que le programme d’austérité mené dans son pays est « très mauvais pour toute l’Europe ».
Le nouveau ministre grec des Finances a entamé sa tournée européenne ce 31 janvier, il a débuté par Paris, où il a rencontré son homologue Michel Sapin et le ministre de l’Economie Emmanuel Macron. Sa tournée en Europe devrait être mouvementée, particulièrement après la rencontre entre le ministre grec et le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, vendredi. En effet, Yanis Varoufakis a prévenu son invité qu’il refusait de dialoguer avec la troïka (FMI, BCE, Commission européenne).
Souvent dénoncé par des représentants européens, la troïka est désormais l’adversaire du nouveau gouvernement grec. Le ministre des Finances a assuré que « la Grèce veut bien dialoguer, mais pas avec le comité branlant de la troïka ». Face à cette position, le ministre néerlandais des Finances, Jeroen Dijsselbloem, a averti qu’« ignorer les accords n’est pas le bon chemin à prendre ».
A la suite de cet échange, ce dernier s’est entretenu avec l’entourage de François Hollande et d’Angela Merkel, afin de trouver une ligne commune pour convaincre le gouvernement grec, de rembourser sa dette. Malgré cela, le ministre grec a assuré à l’hebdomadaire Yo Tima que le programme d’austérité mené jusqu’ici dans son pays « n’est pas bon pour la Grèce », et est « très mauvais pour toute l’Europe ».
Yanis Varoufakis a ajouté que « n’oublions pas que tout ceci n’est pas qu’une crise grecque. Nous avons l’Italie dont la dette n’est pas viable, la France qui sent le souffle de la déflation sur sa nuque, même l’Allemagne est entrée en déflation ».
Yanis Varoufakis devrait tenir le même discours aux représentants qu’il va rencontrer à Londres et Rome, mais pas à Berlin. Après des déclarations offensives, le ministre des Finances tente de tempérer ses propos, en assurant qu’il y a « une chose que l’Europe a su faire ces dernières décennies, c’est de produire des éléments de langage satisfaisants pour tous. Nous pouvons très facilement trouver une nouvelle fois une formulation qui leur permet autant qu’à nous de sauver la face ».
Les déclarations successives du gouvernement grec crispent les créanciers. Angela Merkel a d’ailleurs annoncé que « nous, c’est-à-dire l’Allemagne et les autres partenaires européens, nous attendons de voir avec quel concept le nouveau gouvernement grec vient vers nous ». Le nouveau pouvoir à Athènes a annoncé qu’il voulait effacer une partie de la lourde dette publique du pays, et remettre à plat les accords passés avec ceux qui la détiennent (FMI, Banque centrale européenne, Etats européens).
Cependant, ces accords fixent à Athènes des objectifs très contraignants, en échange d’une aide globale de 240 milliards d’euros et de mesures de clémence financière prises à partir de 2010. Depuis sa création, Syriza dénonce ces contraintes qui obligent le pays à de dégager chaque année un excédent budgétaire conséquent, et à contracter fortement sa dette, calculée en pourcentage du Produit intérieur brut, d’ici 2020. Le nouveau ministre grec va tenter d’expliquer la nouvelle politique économique de la Grèce, qui remet en question l’ensemble des accords signés avec ces bailleurs.
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