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Toute la région des Grands Lacs est concernée
21 février
Le 19 février 2025, le Conseil de sécurité des Nations Unies s’est réuni pour discuter de la situation préoccupante en République démocratique du Congo (RDC). Les avancées des rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, dans l’est du pays menacent la stabilité régionale. Lors de cette session, Mme Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général pour la RDC, a exhorté à une action décisive pour éviter une escalade du conflit.
À la demande de la France, le Conseil de sécurité s’est réuni pour examiner la détérioration rapide de la situation en RDC, marquée par la prise de villes stratégiques telles que Goma et Bukavu par le M23 et les Forces de défense rwandaises (FDR). Mme Keita a souligné que ces développements compromettent non seulement la sécurité de la RDC, mais également celle de toute la région des Grands Lacs.
Mme Keita a fermement demandé le retrait immédiat des forces rwandaises du territoire congolais, rappelant que la souveraineté de la RDC doit être respectée. Elle a également mis en garde contre le risque d’une expansion du conflit si des mesures urgentes ne sont pas prises pour stopper l’escalade de la violence. Cette position a été soutenue par le ministre congolais des Affaires étrangères, qui a exigé le retrait sans condition des troupes rwandaises.
En réponse, l’ambassadeur du Rwanda auprès de l’ONU a nié toute implication de son pays dans le soutien au M23 et a insisté sur la nécessité de solutions africaines pour résoudre le conflit. Il a également averti d’une menace imminente pour la sécurité du Rwanda, affirmant disposer de preuves d’une attaque planifiée contre son territoire.
La crise actuelle a entraîné une grave détérioration de la situation humanitaire en RDC. Les combats ont provoqué le déplacement de plus de 700 000 personnes vers des zones urbaines comme Goma, exacerbant les besoins en aide humanitaire. Les infrastructures de base, y compris l’eau, l’électricité et les services de santé, sont gravement affectées, augmentant le risque de propagation de maladies. Mme Keita a exprimé sa profonde inquiétude face à cette situation et a appelé à une mobilisation internationale pour répondre aux besoins urgents de la population.
Mme Keita a encouragé la poursuite des négociations diplomatiques entre la RDC et le Rwanda, notamment dans le cadre du processus de Luanda. Elle a salué les efforts inlassables de la médiation angolaise et a réitéré la disponibilité des Nations Unies à soutenir ces initiatives pour parvenir à une paix durable. Cependant, elle a insisté sur le fait que le succès de ces pourparlers dépend de la cessation immédiate des hostilités et du respect des engagements pris par toutes les parties prenantes.
Face à la gravité de la situation, Mme Keita a exhorté le Conseil de sécurité à prendre des mesures concrètes pour prévenir une escalade supplémentaire du conflit. Elle a souligné que l’inaction pourrait conduire à une déstabilisation accrue de la région et compromettre les efforts de paix déployés depuis des décennies. Les membres du Conseil ont exprimé leur préoccupation et ont convenu de l’importance d’une réponse coordonnée pour soutenir la souveraineté de la RDC et promouvoir la stabilité régionale.
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