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Dans une région touchée par la famine
22 février
Des milliers de familles ont été obligées de fuir le camp de déplacés de Zamzam, dans le Darfour du Nord, à l’ouest du Soudan, en raison de combats qui ont fait rage la semaine dernière, selon l’OIM.
D’après les équipes de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) déployées sur le terrain, les 11 et 12 février, environ 10.000 familles ont été déplacées du camp de Zamzam, dans la localité d’El Fasher, la capitale du Darfour du Nord, suite à l’intensification des affrontements entre les Forces armées soudanaises (FAS), les Forces de l’Accord de paix de Djouba et les Forces de soutien rapide (FSR).
Dans un rapport sur la situation, publié mercredi, l’OIM a indiqué que ces familles ont pris la route en direction d’autres sites dans le Darfour du Nord, dans les environs d’El-Fasher et de Dar As Salam.
Les chiffres fournis par l’OIM, qui est basée à Genève, ne concernent que les départs occasionnés sur une durée de deux jours, a précisé l’agence, dont la capacité à collecter des informations est actuellement limitée par des « contraintes liées au financement ».
Selon l’OIM, 1.544 autres familles ont été déplacées dans plusieurs villages près d’El-Fasher, du 13 au 15 février, en raison de « l’insécurité accrue dans la localité ».
D’une manière générale, l’agence a indiqué que « la situation reste tendue et imprévisible ».
Le camp de Zamzam, qui abrite au moins un demi-million de déplacés au sud d’El-Fasher, a été le premier site où l’état de famine a été déclaré au Soudan en août dernier.
Après bientôt deux de guerre civile, cette nation du nord-est de l’Afrique est la seule au monde à être officiellement touchée par la famine, qui s’est depuis propagée dans cinq zones du pays, d’après le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC).
Outre Zamzam, les zones concernées sont les camps d’Abu Shouk et Al Salam, dans le Darfour du Nord, ainsi que deux sites dans les Monts Nouba, dans le sud du pays, où la famine affecte à la fois les résidents et les personnes déplacées.
Les habitants du camp de Zamzam ont notamment recours à des mesures extrêmes pour survivre en raison de la rareté de la nourriture : les familles mangent des coquilles d’arachides mélangées à de l’huile généralement utilisée pour nourrir les animaux.
« Des rapports font état de personnes mourant de faim dans certaines régions comme le Darfour, le Kordofan et Khartoum », a déclaré mercredi Stéphane Dujarric, Porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, lors de son point de presse quotidien à New York.
« Environ 638.000 personnes sont confirmées comme étant dans une situation de faim catastrophique (IPC5) », a-t-il ajouté.
À cela s’ajoute 4,7 millions d’enfants de moins de cinq ans, de femmes enceintes ou allaitantes et de jeunes filles qui souffrent de malnutrition aiguë.
Le Porte-parole a appelé toutes les parties à faire taire les armes et à faire passer l’intérêt de la population en priorité.
« Il est urgent d’élargir l’accès et d’ouvrir de nouveaux couloirs — à la fois transfrontaliers et à travers les lignes de front des conflits — afin de fournir de l’aide et d’éviter que les gens ne meurent de faim », a déclaré M. Dujarric.
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