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L’accord proposé par Donald Trump pour que l’aide américaine à Kiev continue
24 février
Le 12 février, à Kiev, les États-Unis ont proposé à l’Ukraine un accord prévoyant que 50 % des revenus issus de ses ressources naturelles reviennent à Washington en échange du soutien militaire passé. L’accord incluait les terres rares, l’uranium, le lithium et les hydrocarbures. Zelensky a refusé en raison de l’absence de garanties sécuritaires. Les négociations se poursuivent, mais le gouvernement US accentue la pression. C’est ce que montrent les négociations bilatérales commencées la semaine dernière entre la Russie et les États-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Le Center for Strategic & International Studies indique ce que contient l’accord proposé.
Le 12 février, à Kiev, le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, a soumis au président ukrainien Volodymyr Zelensky une première version d’un accord de partenariat portant sur les ressources minières. Ce projet stipulait que la moitié des revenus issus des richesses naturelles et minérales de l’Ukraine seraient alloués aux États-Unis en compensation du soutien militaire fourni dans le cadre du conflit avec la Russie. L’accord couvrait non seulement l’exploitation des terres rares, mais également « l’ensemble de la valeur économique générée par les ressources ukrainiennes », y compris l’uranium, le lithium, le pétrole, le gaz et certains revenus liés aux ports. Il imposait en outre que les entreprises américaines détiennent une participation de 50 % dans l’exploitation des gisements de terres rares en Ukraine et prévoyait l’annulation de tous les autres accords commerciaux en cours. C’est ce qu’indique le Center for Strategic & International Studies.
Face à l’absence de garanties sécuritaires pour son pays, Volodymyr Zelensky a refusé de signer. De son côté, Donald Trump a exprimé son souhait d’obtenir 500 milliards de dollars en ressources ukrainiennes en guise de remboursement, tandis que Volodymyr Zelensky estime que l’aide militaire américaine ne s’élève pas à un tel montant. Les discussions se poursuivent, et quelques jours plus tard, le vice-président JD Vance ainsi que le secrétaire d’État Marco Rubio ont présenté une version révisée du texte, moins contraignante. Volodymyr Zelensky aurait rétorqué qu’une telle décision nécessitait l’approbation du Parlement ukrainien. Son équipe travaillerait actuellement sur une contre-proposition incluant des garanties de sécurité claires.
Volodymyr Zelensky ne serait pas fondamentalement opposé à un accord avec Washington qui permettrait d’échanger des ressources stratégiques contre un soutien militaire durable et des assurances en matière de sécurité. Des responsables ukrainiens ont confirmé qu’il avait évoqué cette approche en tant qu’élément du « Plan de victoire » qu’il avait soumis à Trump lors d’une réunion l’an dernier. Parallèlement, le gouvernement des États-Unis exerce une pression croissante sur le dirigeant ukrainien pour qu’il accepte l’accord. Le conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, a qualifié ce partenariat de « meilleure garantie de sécurité possible » pour l’Ukraine. De son côté, Trump a intensifié la pression. C’est ce que montrent les négociations bilatérales commencées la semaine dernière entre la Russie et les États-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
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