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5 janvier 2018
La détérioration de la situation du secteur de la santé en Libye est largement liée au conflit politique et à l’instabilité dans le pays depuis le début de 2011, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Dans un communiqué publié mardi, l’OMS a indiqué la fuite d’un certain nombre de travailleurs de la santé vers diverses régions de la Libye, la plupart des étrangers, en raison de la propagation de la violence, tandis que les établissements de santé ont été endommagés ou détruits par les affrontements armés. En conséquence, de nombreux risques tels que la résurgence de la poliomyélite et d’autres épidémies ont émergé alors que les soins préventifs à long terme sont nécessaires pour faire face aux maladies non transmissibles pour un grand nombre de personnes souffrant dans les zones de conflit, a précisé l’agence onusienne chargée de la santé.
On rappelle que la Commission nationale libyenne des droits de l’homme a annoncé dans un rapport publié mardi que quinze cas d’attaques contre les établissements de santé dans les villes de Benghazi, Zaouia, Sebha, Tripoli, Werchefana et Derna ont été recensés en 2017, ce qui a mis la vie des médecins et des patients et le système de soins de santé en danger. Le document a indiqué que « près d’un tiers de la population libyenne souffre d’une crise humanitaire vivace caractérisée par l’insécurité alimentaire et sanitaire », ajoutant que « quelque 3,5 millions de personnes ont besoin de soutien dans leur vie et d’aide humanitaire et de santé ».
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