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4 ans après le Printemps arabe, conférence de chercheurs en géopolitique à Tunisiens
18 juin 2015
Des spécialistes géopolitiques et de sécurité se sont penchés sur la situation du monde arabe à Tunis.
Plusieurs experts et chercheurs, spécialistes des sciences géopolitiques et de sécurité, venus de nombreux pays arabes, ont participé mardi à Tunis au colloque sous-régional organisé par le Centre tunisien pour les études de la sécurité globale, en collaboration avec l’Association tunisienne de l’information géographique numérique sur le thème « Le fondement de la lutte dans le monde arabe ».
Intervenant à cette occasion, le président du Centre tunisien pour les études de la sécurité globale, Mokhtar Ben Nasr, a mis l’accent sur les causes de la situation que vit le monde arabe, affirmant que l’accumulation des problèmes politiques, historiques et économiques sont à la base de la situation politique qui prévaut dans la région arabe en cette période précise de son histoire.
Il a déploré la faillite de tous les mouvements réformistes aussi bien économiques qu’idéologiques enregistrés dans le mode arabe, ce qui, a-t-il expliqué, a provoqué la situation dégradée politiquement et économiquement dans cette partie du monde, soulignant la nécessité pour le monde arabe de mettre en place une stratégie de travail claire pour sortir de la crise dans laquelle il vit.
Selon lui, les Arabes possèdent tous les moyens nécessaires, comme la position stratégique de la région, les ressources naturelles pour sortir de cette crise, mais il leur manque la recherche et la planification préalables.
Pour sa part, le colonel algérien, Ramdane Hamlat, a parlé de la situation en Libye et ses conséquences sur la Tunisie et l’Algérie, mettant l’accent, à cet égard, sur les causes de la présence, de plus en plus importante, des groupes terroristes armés en Libye et l’augmentation de leur menace sur la sécurité et la stabilité de la région.
La chute du régime de Kadhafi et la crise politique qui en est issue sont les principales causes de l’influence importante en Libye de l’Organisation de l’Etat islamique, “Daesh”, qui exploite la poursuite de la crise politique et la lutte entre l’armée libyenne et le groupe « Fajr Libya » pour consolider ses capacités militaires, tout en se donnant une place de choix dans le pays, a expliqué le colonel Hamlat.
Selon lui, l’Organisation “Daesh” dispose de 6.000 combattants en Libye dont environ 500 Tunisiens et 200 Algériens qui représentent une menace importante à leurs pays respectifs.
Le directeur du Centre arabe de recherches et d’analyses politiques et sociales basé à Genève, Riadh Sidaoui, a, de son côté, évoqué la situation au Yémen et la guerre conduite par l’Arabie saoudite contre ce pays, affirmant que les causes de cette guerre, contrairement aux affirmations de certains médias, ne sont pas confessionnelles mais politiques dues à la volonté du régime saoudien d’étendre son influence sur le Yémen qui représente une menace sur le Royaume, pour de nombreuses raisons, notamment historiques et politiques.
En définitive, a-t-il dit, la situation politique et sécuritaire du monde arabe est planifiée par des puissances occidentales qui veulent diviser la région arabe en de micro-Etats, affirmant la détermination de l’Occident de diviser le Yémen, l’Arabie saoudite, le Soudan et d’autres pays arabes.
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