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Afrique du Sud
27 avril 2013
Plus de 20 spécialistes du VIH, décideurs politiques et chercheurs se sont réunis au Cap, en Afrique du Sud, du 18 au 20 avril 2013, sur l’invitation de l’African Society for Laboratory Medicine (ASLM), du Bureau régional pour l’Afrique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS-AFRO), du Programme conjoint des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA), de la Society for AIDS in Africa (SAA) et de la Southern African HIV Clinicians Society, dans le cadre d’une consultation sur trois jours, pour se pencher sur les manières les plus efficaces et viables de concevoir et de mettre en œuvre des programmes de test de la mesure de la charge virale du VIH en Afrique.
LE CAP, Afrique du Sud, 26 avril 2013/African Press Organization (APO)
Réunis sous le thème « Viral Load Testing in African HIV Treatment Programmes » (« Le test de la mesure de la charge virale dans le cadre des programmes africains de traitement du VIH »), des professionnels et des parties prenantes du secteur de la santé de plus de 20 Ministères de la santé africains, ainsi que d’autres partenaires internationaux, ont défini des stratégies de consensus en vue du renforcement ou de l’expansion des capacités en matière de test de la mesure de la charge virale du VIH en Afrique. Les participants se sont également efforcés d’approfondir les partenariats visant à soutenir la diffusion de cet important test de diagnostic et marqueur de suivi de l’infection au VIH.
« La charge virale constitue le meilleur outil dont nous disposons pour contrôler le succès des traitements et décider s’il convient de passer à l’administration d’une médication fondée sur les nouvelles thérapies antirétrovirales (ART) », a déclaré le Docteur Gottfried Hirnschall, directeur du Département VIH/SIDA, Organisation mondiale de la santé. « Pour mieux soutenir tous ceux qui reçoivent des thérapies ART et appuyer les effets préventifs de celles-ci en ce qui concerne la réduction de la transmission du VIH, l’amélioration de l’accès à des tests de la charge virale simples et à des prix abordables dans les régions disposant de ressources limitées représente une priorité pour les années à venir ».
« S’assurer que les personnes atteintes du VIH aient accès à un suivi sûr et approprié du virus constitue un droit de l’homme fondamental », a commenté Michel Sidibé, directeur général d’ONUSIDA. « Les tests doivent être plus simples, plus rapides, plus rentables et bien plus répandus. Ce n’est qu’alors que tous les bienfaits de la thérapie antirétrovirale deviendront une réalité ».
Dans le cadre d’un effort général pour parvenir à une génération sans SIDA, nombreux sont les pays africains à avoir commencé à adopter et à mettre en œuvre des programmes de test de la charge virale du VIH. Néanmoins, ces programmes se voient confrontés à toute une série d’obstacles qui limitent leur accessibilité et leur rentabilité. Cette réunion consultative visait à :
- développer des stratégies et des recommandations en vue de l’adoption et de l’application de politiques de test de la charge virale du VIH, en tenant compte pour cela des lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé ;
- analyser les obstacles opérationnels, techniques et financiers qui limitent l’expansion de l’accès aux tests de la charge virale du VIH en Afrique, notamment dans les zones peu accessibles ;
- évoquer les stratégies de développement des compétences techniques et de transfert de technologies ; et
- développer des stratégies pour l’utilisation des capacités existantes et pour mettre en place des technologies de test de la charge virale du VIH sur place.
Parmi les intervenants et les participants à la rencontre, on trouvait des représentants des Ministères de la santé africains, du South African National Health Laboratory Service, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’ONUSIDA, des United States Centers for Disease Control and Prevention, des programmes sanitaires gouvernementaux mondiaux, des organisations privées et de l’industrie.
« Les programmes sanitaires africains continuent d’emporter des succès certains en ce qui concerne le devenir des patients, et une telle réussite est due, en partie, aux programmes de recherche éprouvés. L’ASLM est la première organisation panafricaine qui se donne pour objectif exclusif de faire avancer et d’orienter la médecine de laboratoire », a déclaré le Dr. Tsehaynesh Messele, directeur général de l’ASLM. « Les services de laboratoire jouent un rôle primordial dans la préservation de communautés fortes et en bonne santé. Le suivi de la charge virale VIH chez les patients fait partie intégrante de tels services ».
Coorganisateurs de la réunion
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