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Un projet d’un montant total de 68,8 millions de dollars
12 décembre 2022
La Banque africaine de développement est le principal partenaire financier de ce projet aux Seychelles, d’un coût total de 68,8 millions de dollars. Le Fonds monétaire international et la Banque mondiale apportent, respectivement, 18,8 millions et 25 millions de dollars à cette deuxième phase du programme, qui devrait s’achever en 2024. La Banque africaine de développement a donné son accord le 1er décembre dernier.
Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a donné son feu vert, jeudi 1er décembre 2022, à Abidjan, à l’octroi d’un prêt de 25 millions de dollars en faveur des Seychelles. Le financement est destiné à mettre en œuvre la phase II du Programme d’appui à la gouvernance et aux réformes économiques (GERSP-II).
Cette phase II va permettre de consolider et amplifier les efforts du Programme d’appui à la gouvernance et aux réformes économiques que le Conseil d’administration de la Banque avait approuvé le 7 juillet 2021, avec l’objectif de renforcer la résilience et une reprise économiques inclusives, après la pandémie de Covid-19.
L’objectif principal de cette deuxième phase est d’intensifier les réformes de la gouvernance économique, de manière à favoriser une croissance verte inclusive et à appuyer la reprise post-Covid-19, tout en renforçant la résilience environnementale et climatique.
Le programme va ainsi aider le pays à améliorer sa performance en matière de recettes fiscales ainsi que la gouvernance dans le secteur public (entreprises publiques notamment) ; à renforcer le cadre de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme ; à améliorer le climat des affaires ; et à apporter des réponses plus judicieuses aux changements climatiques, outre renforcer la gestion des énergies renouvelables et des déchets solides.
« La Banque s’appuiera sur cette opération d’appui budgétaire général, sur les activités d’assistance technique en cours et sur les études économiques et sectorielles récentes pour approfondir le dialogue avec les autorités dans plusieurs domaines, notamment la viabilité du budget et la soutenabilité de la dette, l’amélioration du climat des affaires, le développement du capital humain et la promotion de la résilience climatique et environnementale », a déclaré Nnena Nwabufo, la directrice générale du Groupe de la Banque pour l’Afrique de l’Est.
Au vu de l’ampleur du programme de réformes et de l’impact escompté sur l’ensemble de l’administration publique, la croissance économique et la résilience environnementale et climatique, le projet profitera à l’ensemble de la population des Seychelles. En effet, la marge budgétaire obtenue permettra d’augmenter les dépenses consacrées aux programmes sociaux qui correspondent aux Objectifs de développement durable des Nations unies. Usagers des services sociaux publics, contribuables, investisseurs nationaux et étrangers, population active seychelloise profiteront ainsi du projet. Lequel aura aussi une incidence positive sur le secteur privé en général et les micros, petites et moyennes entreprises en particulier, du fait de l’amélioration du climat des affaires, d’un accès élargi au financement et d’une meilleure résilience climatique.
Le programme s’inscrit dans la droite ligne de la Stratégie nationale de développement 2019-2023 du gouvernement seychellois, ainsi que de la Stratégie décennale de la Banque (2013-2022) et de trois de ses cinq grandes priorités opérationnelles, les « High 5 » à savoir, « industrialiser l’Afrique », « intégrer l’Afrique » et « améliorer la qualité de vie des populations en Afrique ».
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