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Emploi
Mise en place difficile des postes d’assistant d’éducation
10 septembre 2003
Les aides-éducateurs dont le contrat s’est terminé le 30 juin 2003 sont toujours dans l’expectative : ils ne savent pas s’ils vont être recrutés sous contrat d’assistant d’éducation. Même incertitude pour les maîtres d’internat et surveillants d’externat (MI-SE). Quant à ceux dont le contrat va se terminer dans les mois qui viennent, ils commencent à se faire vraiment du souci : ils voient leurs perspectives s’assombrir.
Fin juillet/début août, l’émotion et l’inquiétude ont surgi avec vigueur dans la population réunionnaise.
Motif : l’annonce d’une éventuelle baisse du nombre des contrats dits aidés (notamment CES) pour le second semestre. Chacun se souvient de la polémique qui s’en est suivie. Or les décisions de suppressions de postes et d’emplois ont toujours provoqué - ce qui est on ne peut plus légitime - des réactions de protestation : cela a par exemple été les actions menées pour la pérennisation des contrats emploi-jeunes par le Collectif Emploi en Danger (CED), né il y a tout juste un an maintenant. Et son combat reste d’actualité, à plus d’un titre. En effet, aujourd’hui encore, la situation de ces emplois-jeunes n’est pas réglée, bien au contraire. Malgré les engagements de Brigitte Girardin, une petite centaine de jeunes sont « sur le bord du chemin » et pointent aux ASSEDIC. Nous aurons les chiffres plus précis après la réunion du comité de pilotage de la MAPREJ vendredi 12 septembre. Et ce n’est que pour ceux qui avaient signé des contrats avec des associations, des collectivités locales. Mais celles et ceux qui ont signé avec l’État et plus spécialement le ministère de l’Éducation sont bel et bien dans une sacrée difficulté. Quelles que soient les décisions prises, c’est mathématique, des dizaines d’ex aides-éducateurs vont se retrouver - eux aussi, et malgré les engagements ministériels - « au bord du chemin ».
Les différentes rencontres entre l’intersyndicale, les syndicats et autres associations d’une part, et le rectorat d’autre part, ont certes permis de cerner le problème. Mais rien de totalement officiel n’a été émis. On en saura probablement beaucoup plus à l’issue de la rencontre de l’intersyndicale et de la Préfecture cet après-midi.
À noter qu’au moment où celle-ci rencontrera le préfet ou son représentant, le recteur, lui, sera dans le bureau de Brigitte Girardin. Là aussi, il faudra attendre pour connaître quelles seront les nouvelles donnes pour La Réunion.
Toujours est-il que la date fixée pour l’entrée en fonction des assistants d’éducation (1er septembre) n’a pas été respectée. Et pour cause : la procédure est tellement longue que c’était impossible de tenir le délai ; le recrutement n’a donc pas encore pu se faire. Ni dans le secondaire ni dans le primaire, où la situation est encore plus difficile, puisque les directeurs d’école n’ont pas la compétence pour embaucher mais doivent passer par les chefs d’établissement du secondaire. Ceux-ci ne peuvent le faire de leur propre chef mais doivent réunir le Conseil d’administration. Deux possibilités : soit ils attendent l’élection du nouveau Conseil (celui de l’année scolaire 2003/2004), soit ils travaillent avec "l’ancien". Malgré les demandes formulées, notamment par les ex aides-éducateurs, ceux-ci ne seront pas admis dans le Conseil pour émettre leur avis.
Les ex aides-éducateurs espèrent avoir des réponses le plus rapidement possible.
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