
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Bilan dressé par la Fédération internationale des journalistes
4 janvier 2021
En 2020, la Fédération internationale des journalistes (FIJ), première organisation mondiale de la profession, a enregistré 60 assassinats de journalistes et de membres du personnel des médias dans des attaques ciblées, des explosions à la bombe et des tirs croisés dans 16 pays du monde, soit 11 de plus qu’en 2019. Depuis 1990, la FIJ a enregistré 2676 morts dans le monde.
L’année 2020 restera dans l’histoire comme celle d’une crise pandémique mondiale sans précédent, mais aussi comme celle de la recrudescence des assassinats des journalistes et de membres du personnel des médias dans le monde. Avec 60 assassinats en 2020, les statistiques macabres repartent à la hausse par rapport à 2019 (49).
Les relevés de la FIJ montrent que le nombre actuel de meurtres de professionnels des médias est au même niveau que celui des années 1990, lorsque la FIJ a commencé à publier des rapports annuels sur les journalistes et le personnel des médias tués, qui montrent des pics de mortalité au milieu des années 90 et au milieu des années 2000.
Les cartels criminels organisés, l’insurrection extrémiste et la violence sectaire continuent de semer la terreur parmi les journalistes, dont des dizaines ont payé le prix ultime pour des reportages indépendants aux quatre coins du monde.
À cet égard, l’année 2020 n’a pas fait exception. Le règne impitoyable des barons du crime au Mexique, la violence des extrémistes au Pakistan, en Afghanistan et en Somalie ainsi que l’intolérance des extrémistes en Inde et aux Philippines ont contribué à une effusion de sang continue dans les médias.
La liste de cette année inclut, en particulier, le meurtre de la journaliste russe Irina Slavina, une affaire qui a peut-être révélé le niveau de désespoir et de découragement absolu face aux assauts incessants contre les professionnels des médias. La rédactrice en chef de Koza Press s’est immolée par le feu dans la ville de Nijni-Novgorod pour protester contre la campagne d’intimidation et de harcèlement visant à la faire taire. En fin de compte, cela a conduit à son acte fatal, mais seulement après qu’elle ait accusé les autorités de porter la responsabilité de son acte.
« Les tendances présentées dans nos publications au cours des 30 dernières années, mais également en 2020, montrent clairement à tous qu’il n’y a pas de place pour la complaisance. Au contraire, elles sont un appel urgent à redoubler d’efforts pour nous mobiliser pour une plus grande protection des journalistes et un engagement à la pratique sûre du journalisme », a déclaré le Secrétaire général de la FIJ, Anthony Bellanger.
Au 31 décembre 2020, la FIJ classe l’Asie-Pacifique comme la région la plus dangereuse du monde avec 27 meurtres, suivie de l’Amérique latine (17). Les pays du Monde Arabe et du Moyen-Orient en ont enregistré 8 devant l’Afrique (6) et l’Europe (2).
Dans son classement pour 2020 par pays, le Mexique arrive en tête de liste pour la quatrième fois en cinq ans avec 14 meurtres, suivi de l’Inde (8), de l’Afghanistan (7), du Pakistan (7), des Philippines (4) de la Syrie (4) tandis que l’Irak et le Nigeria ont enregistré 3 meurtres chacun. Il y a également eu deux meurtres en Somalie. Enfin, un journaliste a été tué au Bangladesh, au Cameroun, au Honduras, au Paraguay, en Colombie, en Russie, en Suède et au Yémen.
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)