
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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25 novembre 2020, par
,La journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes est une journée internationale célébrée le 25 novembre et soutenue par l’Organisation des Nations Unies.
En 1981, lors des « Premières rencontres féministes d’Amérique Latine et des Caraïbes », des militantes pour les droits des femmes ont choisi la date du 25 novembre comme journée de lutte contre les violences, en mémoire de trois sœurs dominicaines engagées contre la dictature, Patria, Minerva et María Teresa Mirabal, connues dans la clandestinité sous le nom de « Las Mariposas » (papillons). Emprisonnées à plusieurs reprises, victimes de tortures, violées, les trois militantes furent assassinées, le 25 novembre 1961, sur les ordres du chef de l’Etat dominicain, Rafael Trujillo. Dans une résolution du 17 décembre 1999, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a proclamé le 25 novembre Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. L’ONU invite les gouvernements, les organismes internationaux et les organisations non gouvernementales à organiser ce jour-là des actions pour sensibiliser l’opinion au problème des violences faites aux femmes.
Depuis l’apparition de la COVID-19, les données et les rapports provenant de ceux évoluant en première ligne montrent que tous les types de violences contre les femmes et les filles, et surtout la violence domestique, se sont accrus. C’est la pandémie parallèle qui se développe pendant la crise de la COVID-19, et nous avons besoin d’un effort collectif pour l’arrêter. À mesure que les cas de COVID-19 continuent de mettre les soins de santé à rude épreuve, les services essentiels tels que les abris contre les violences domestiques et l’assistance téléphonique ont atteint leur capacité maximale. Davantage doit être fait pour donner la priorité à la lutte contre les violences perpétrées à l’encontre des femmes dans la riposte contre la COVID-19 et les efforts de relèvement.
Que ce soit au travail, dans l’espace public ou dans le couple, les Réunionnaises victimes de violences sexistes sont plus nombreuses qu’en France. C’est ce que révèle l’étude sur les violences et les rapports de genre de l’institut national d’études démographiques (INED). Plus d’une Réunionnaise sur trois déclare avoir subi au moins un fait de violence dans l’espace public au cours des 12 derniers mois, contre une femme sur 4 en France. Sur notre île, trois fois plus de femmes rapportent subir des propositions sexuelles insistantes malgré leur refus, et 2% d’entre elles ont subi des attouchements ou des baisers forcés.
Il est grand temps que ces violences illégitimes prennent fin. Depuis des dizaines d’années des générations de femmes militantes se sont emparés du problème d’Isnelle Amelin à Laurence Vergès en passant par Aliette Gauvin. Malheureusement la jeune garde doit continuer à lutter contre ce fléau qui hante la société réunionnaise.
« La femme est l’avenir de l’homme « Jean Ferrat
Nou artouv’
David Gauvin
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