
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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27 novembre 2017, par
L’Egypte vient de subir l’attentat le plus meurtrier sur son sol. 305 personnes sont mortes à la suite de l’attaque d’une mosquée vendredi dans le Sinaï. L’acte n’a pas encore été revendiqué, mais les soupçons se portent vers un groupe extrémiste menant une insurrection armée dans le Sinaï, qui a fait allégeance à Daesh.
Cet événement survient peu de temps après la chute de Raqqah, la capitale du Califat autoproclamé du groupe Etat islamique. La reddition de cette place s’est faite dans des conditions singulières. L’armée de Daesh était assiégée par les alliés des États-Unis et des Britanniques. Elle n’avait aucune possibilité de fuir et était promise à l’anéantissement ou à la capture. Elle a négocié son évacuation avec armes et bagages par camions en échange de l’abandon de Raqqah. Elle a donc pu garder tout son potentiel de destruction.
La reddition de Raqqah ajoute un chapitre supplémentaire au jeu trouble des gouvernements occidentaux dans cette région. Car Daesh base son action sur l’intolérance notamment vis-à-vis des branches de l’islam qui diffèrent du salafisme. Il ne fait aujourd’hui plus de doute que Daesh a été utilisé pour tenter de faire tomber le gouvernement syrien, puis devant l’échec de cette entreprise, elle s’est construite un État à cheval sur les frontières de la Syrie et de l’Irak. Si elle a été défaite militairement sur ce terrain, Daesh n’a pas disparu. En Syrie et en Irak, son armée a gardé son potentiel, tandis qu’elle participe à la guerre civile en Libye.
L’action de vendredi est symbolique, car elle a visé un pays allié des Occidentaux. L’Egypte a des liens avec les États-Unis et aussi avec la France. Rappelons qu’elle lui a acheté les deux bateaux Mistral qui avaient été initialement commandés par la Russie. Le symbole du lieu est soigneusement choisi, il se base sur l’intolérance religieuse.
C’est une nouvelle manifestation d’une guerre à l’échelle du monde. Bien qu’elle soit une île, La Réunion est concernée car des projets d’attentats ont déjà été déjoués. Notre île symbolise en effet tout ce que Daesh combat, c’est-à-dire la tolérance des pratiques religieuses.
J.B.
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