
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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7 septembre 2007, par
“Témoignages” a déjà attiré l’attention plusieurs fois sur un élément important de la situation dans notre île ces derniers mois : le grand nombre de conflits sociaux dans les entreprises du secteur privé. Un problème lié à l’érosion du pouvoir d’achat des salariés, donc à la politique des prix et des revenus à La Réunion, qui doit être entièrement revue.
Pour revoir et changer cette politique, il faut un débat entre Réunionnais afin d’aboutir globalement à un partage équitable des ressources disponibles. Ce débat doit également être organisé dans les entreprises, afin d’en finir avec les profondes inégalités de revenus qui brisent l’harmonie sociale.
Des responsables syndicaux de chefs d’entreprises sont montés au créneau dans la presse pour alerter l’opinion sur les méfaits des grèves. Mais ils estiment que si ces conflits se produisent, « c’est que le dialogue social n’a pas fonctionné » et qu’il y a « un manque de concertation et de compréhension au sein des entreprises ».
Cette reconnaissance de la nécessité d’un réel dialogue entre patrons et salariés est une bonne chose. Mais alors on ne comprend pas comment les syndicats patronaux peuvent dire, avant même que le dialogue souhaité ne s’entame : « il est impossible d’augmenter les salaires de 150 euros ».
C’est en effet avec les travailleurs qu’il faut discuter. En mettant tous les chiffres sur la table.
Où est la “concertation” si l’on ne dit pas aux salariés toute la vérité sur le budget de l’entreprise ? Le dialogue social est inséparable de la transparence sur l’utilisation des fruits du travail.
L. B.
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