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5 janvier 2016, par
La France va commémorer demain le premier anniversaire de l’attaque terroriste contre Charlie Hebdo. 12 mois qui ont vu la France basculer dans l’état de guerre. Le 6 janvier 2015, 12 personnes sont mortes dans les locaux du journal et dans la rue. Cette tragédie puis la mort d’une policière municipale et la prise d’otage dans un supermarché de la Porte de Vincennes avait soulevé une vague d’émotion dans les pays occidentaux. Plusieurs millions de personnes avaient défilé en France.
Cet événement a été suivi quelques mois plus tard par le vote d’une loi qui a réduit le pouvoir du juge au profit de l’administration. Ce texte relatif au renseignement codifie notamment l’utilisation de matériaux d’espionnage.
Le 13 novembre, une attaque dix fois plus meurtrière que celle de Charlie Hebdo a de nouveau frappé Paris. Elle a entraîné l’application de l’état d’urgence qui reste toujours en vigueur. Cette mesure étend considérablement les pouvoirs de l’administration au détriment de ceux du juge.
Le 16 novembre, François Hollande tient un discours devant le congrès des sénateurs et des députés. Il annonce une réforme constitutionnelle pour inclure l’état d’urgence et la déchéance de nationalité réservée à une catégorie spécifique de citoyens français. Cette dernière proposition suscite une large réprobation, en particulier dans la majorité présidentielle. Le chef de l’État est accusé de reprendre à son compte un thème de l’extrême droite.
Les 6 et 13 décembre, le parti d’extrême droite FN recueille plus de 6 millions de voix aux élections régionales. C’est son score le plus important. Au premier tour, l’extrême droite était en tête dans plusieurs régions. Le front des partis républicains l’a empêché de prendre le pouvoir dans les régions qu’elle convoitait.
Suite à ces élections régionales, le président de la République a maintenu la déchéance de nationalité dans le projet de loi constitutionnelle. Cette décision a fait éclater l’union de la gauche : les communistes et les Verts voteront contre le texte, alors que le sujet divise le PS. À droite, des voix s’élèvent également contre cette mesure.
Lors de ses vœux aux Français jeudi, le chef de l’État a maintenu cette position, tout en précisant que la guerre sera longue. L’état de guerre a pris les devants, mais tous les autres problèmes sont toujours là, à commencer par le chômage.
Quel sera l’impact de cette guerre sur la politique sociale du gouvernement en 2016 ?
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