
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
20 mars 2003
Le scorpion n’a jamais eu bonne presse.
Il est le symbole du traître qui frappe sans crier gare : on dit "fourbe comme le scorpion". Aussi n’est-ce pas un hasard si le dessinateur a représenté George Walter Bush sous les traits d’un scorpion sur-armé s’attaquant à l’Irak que la communauté internationale s’attachait à désarmer - non sans difficultés - mais pacifiquement depuis 1991.
On peut lire dans ce dessin qu’après avoir détruit le maximum d’armes dont l’Irak s’était doté, G. W. Bush a estimé qu’il pouvait donc attaquer sans trop prendre de risques.
La fourberie de G. W. Bush déclarant la guerre au moment où la communauté internationale représentée par l’O.N.U. touchait au but proclamé a été dénoncée par le président de la République française : « La décision unilatérale de recourir à la guerre […] est une décision grave, alors que le désarmement de l’Irak est en cours et que des inspections ont démontré qu’elles étaient une alternative crédible pour désarmer ce pays ».
Et la conclusion du président de la République s’impose d’elle-même quant aux conséquences futures - notamment lorsqu’il s’agira d’obtenir de la Corée du Nord, par exemple, qu’elle renonce à l’arme nucléaire - : « C’est une décision qui compromet pour l’avenir les méthodes de règlement pacifique des crises liées à la prolifération des armes de destruction massive ».
Quel est en effet le pays qui sera assez naïf pour croire désormais que lorsque l’O.N.U. lui demandera de renoncer à la fabrication d’armes de destruction massive ce ne sera pas, une fois qu’il aura détruit la part la plus importante de ses armes, le signal d’une attaque "en traître", d’une curée meurtrière comme celle annoncée contre le peuple d’Irak ?
On le voit, la décision "outlaw" de G. W. Bush va bouleverser durablement les rapports entre tous les États du monde. Avant même la première attaque, la démonstration - par l’absurde - est ainsi faite que le recours à la guerre ne résout aucun des problèmes posés et engendre une situation qui, très rapidement, se révélera pire que celle que G. W. Bush proclame vouloir ainsi régler.
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)