
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
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3 novembre 2011, par
Sarkozy était fier comme un paon jeudi soir à la télé. Il se délectait d’avoir réussi à imposer la loi du plus fort aux plus faibles de l’Europe. Le peuple grec a bien compris qu’il allait encore une fois payer pour enrichir les banques et les rentiers de la haute finance. Le FESF assurait les arrières.
Sous la pression populaire, le Premier ministre grec annonce qu’il organisera un référendum pour légitimer l’accord. Cela a suffi pour qu’il se fasse traiter « d’irresponsable » par des éditorialistes et des dirigeants politiques français. Qu’est-ce qui permet à ces derniers de pré-juger du vote populaire ? Si le plan est si bon, pourquoi le peuple grec serait-il contre ?
En réagissant de la sorte, Sarkozy et ses amis montrent ce qu’ils sont en réalité : des portes-drapeaux des intérêts des profiteurs de l’ultra libéralisme. Ils ne pensent aux souffrances du peuple grec pour lequel l’enjeu est simple : s’il faut souffrir davantage, autant le faire la tête haute que l’échine courbée !
Après toutes les mesures humiliantes et des milliers propos vexatoires, le peuple refuse le diktat et la capitulation.
Si Papandréou réussit à garder le cap, il rejoindra les dirigeants des pays capitalistes de la planète qui avant lui avaient refusé la domination du système financier international et la capitulation. Il y a eu la Malaisie. Dans la crise monétaire de 1997, le premier ministre Mahatir a refusé les propositions du FMI et de la horde des spéculateurs emmenés par Georges Sorros. Il a réussi à sauver son peuple de la souffrance. C’est aussi le cas de l’Argentine. En 2002, son premier ministre a refusé de suivre les plans imposés par le FMI et les spéculateurs. En 3 ans, il a réussi à replacer son pays dans le peloton de tête de la croissance mondiale.
En définitive, Sarkozy et ses amis ont peur que la voie grecque donne des idées aux Français, Italiens, Espagnols, Portugais, etc. Oui, le peuple a droit à la vérité et la transparence ; or, Sarkozy ment !
Vivement un référendum pour nous aussi.
J.B.
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Messages
3 novembre 2011, 06:42, par HUGO
La constructon de l’EUROPE devra être remis à plat. Un référendum non seulement en GRECE mais partout où l’argent dirige. Parole à la population et on verra si les millions d’euros seront perdus...