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25 mars 2014, par
Vendredi dernier, c’était le 20e anniversaire de la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique. Adoptée dans la foulée du premier Sommet de la Terre à Rio au Brésil, cette convention est la base de tous les règlements destinés à atténuer et à s’adapter au changement climatique. Sa réalisation la plus connue est le Protocole de Kyoto, un traité international qui impose aux anciennes puissances coloniales de respecter des objectifs chiffrés de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Dans un discours prononcé à l’occasion de ce 20e anniversaire, Ban Ki moon, secrétaire général de l’ONU a rappelé l’engagement porté par la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique : « mettre le monde sur une voie durable pour les générations à venir ».
8 ans après son entrée en vigueur, la Convention cadre connaissait un premier revers de taille, c’était le refus des Etats-Unis de ratifier le Protocole de Kyoto. À l’époque, George Bush était le président de ce pays. L’arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche n’a rien changé sur ce point pour le moment.
Aujourd’hui, c’est une autre nouvelle qui nous parvient de l’Organisation mondiale de la Santé. La pollution atmosphérique n’agit pas uniquement sur le climat. Elle a des effets à plus court terme selon le bilan publié par l’OMS : « en 2012, près de 7 millions de décès – un sur huit au niveau mondial – étaient dus à l’exposition à la pollution de l’air. Ces chiffres représentent plus du double des estimations précédentes et confirment que la pollution de l’air est désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde ».
Les signaux d’alerte ne cessent de s’accumuler, mais les objectifs des politiques publiques des grands pays pollueurs ne changent pas. La crise va donc continuer à s’aggraver. Or, l’OMS propose la solution : « une pollution atmosphérique excessive est souvent la conséquence des politiques non durables menées dans les secteurs comme le transport, l’énergie, la gestion des déchets et l’industrie. Dans la plupart des cas, des stratégies plus saines seraient également plus économiques à long terme en raison des économies en dépenses de santé, mais aussi des bénéfices pour le climat ».
C’est bien d’un changement de civilisation dont il est question.
J.B.
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