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27 juillet 2021, par
Les scientifiques du GIEC sont réunis depuis hier pour établir un nouveau rapport. Au vu des hausses de températures observées, ils devraient alerter sur le réchauffement climatique de la planète.
Ce sont des indicateurs qui inquiètent et font prendre conscience du réchauffement climatique de la planète. Au nord-ouest du Canada, un dôme de chaleur a étouffé la population pendant des jours faisant plus de 700 morts. De l’autre côté du globe, en Inde, des moussons dévastatrices ont fait plus d’une centaine de morts. En Afrique, à Madagascar, l’ONU attribue pour la première fois une famine au dérèglement climatique. En 50 ans, les températures ont augmenté de 1,1 degrés. Pour les scientifiques, il faudrait le limiter à 2 degrés avant la fin du siècle.
« On commence de plus en plus à avoir des événements inédits, inattendus, ça veut dire qu’on doit se préparer à des événements qu’on n’a jamais vus par le passé », explique Sonia Seneviratne, climatologue. Ces phénomènes devraient se multiplier. Dans un scénario catastrophe, les scientifiques prévoient un réchauffement de 4 degrés d’ici la fin du siècle, de quoi transformer totalement notre environnement. Le rapport du GIEC sera publié le 9 août. Les climatologues savent déjà qu’il sera alarmiste.
« Le monde a besoin de toute urgence d’un engagement clair et sans ambiguïté de la part de toutes les nations du G20 en faveur de l’objectif de 1,5 degré de l’Accord de Paris », a déclaré dimanche le Secrétaire général des Nations Unies, après que les ministres de l’Énergie et de l’Environnement des pays du Groupe, réunis à Naples, en Italie, se soient quittés vendredi sans s’accorder sur les principaux engagements en matière de changement climatique. « Il n’y a pas de chemin vers cet objectif sans le leadership du G20. Ce signal est désespérément nécessaire pour les milliards de personnes qui se trouvent déjà en première ligne de la crise climatique, ainsi que pour les marchés, les investisseurs et l’industrie, qui ont besoin d’avoir la certitude qu’un avenir à climat zéro est inévitable », a insisté António Guterres dans un communiqué.
À moins de 100 jours de la COP 26 de la Conférence des Nations Unies sur le climat de 2021, une réunion charnière qui se tiendra à Glasgow à la fin du mois d’octobre, M. Guterres a exhorté tous les dirigeants du G20 et d’autres pays à s’engager en faveur de l’objectif « zéro émission nette » d’ici 2050, à présenter des plans climatiques nationaux plus ambitieux pour 2030 et à mettre en œuvre des politiques et des actions concrètes en faveur d’un avenir « zéro émission nette ». Il s’agit notamment de ne plus produire de charbon après 2021, de supprimer progressivement les subventions aux combustibles fossiles et de convenir d’un plancher international minimum pour la tarification du carbone, comme le propose le Fonds monétaire international (FMI). Au-delà, il nous faut agir à tous les niveaux, État, Collectivité, Entreprise et Ménage. L’avenir n’est pas à la décroissance mais à l’alter-croissance prenant comme horizon, la fin de la misère, un emploi et un logement pour tous et tout cela en faisant baisser l’impact de l’activité humaine sur la planète.
« Les avertissements concernant le réchauffement climatique ont été extrêmement clairs depuis longtemps. Nous sommes confrontés à une crise climatique mondiale. C’est un approfondissement. Nous entrons dans une période de conséquences. » Al Gore
Nou artrouv’
David Gauvin
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