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25 février 2021, par
Comme chaque année au 1er mars, toutes les entreprises doivent présenter leur index d’égalité professionnelle, permettant de mesurer l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes. Petite particularité cette année, l’arrivée des petites et moyennes entreprises. Les grandes entreprises connaissent déjà l’exercice mais pour les plus petites, c’est une vraie découverte, et un vrai défi à relever.
L’exercice est compliqué, surtout lorsqu’on est une petite PME sans DRH et qui doit faire avec les moyens du bord pour relever les indicateurs pour pouvoir calculer l’index. Pour être dans les clous, il faut avoir une note supérieure à 75 sur 100. Cet index combine en tout cinq critères : l’écart de revenu entre femmes et hommes, âge et poste confondus, la répartition de l’augmentation individuelle entre les hommes et les femmes. La répartition des promotions, le nombre de femmes dont le salaire est augmenté à leur retour de leurs congés maternité et enfin, le nombre de femme parmi les 10 plus hautes rémunérations de l’entreprise.
Pour aider les PME à se familiariser à cette nouvelle méthode, le ministère du travail propose des formations un peu partout en France. Chaque entreprise veut améliorer la note de son entreprise mais c’est la que les problèmes commencent car plus de la majorité des entreprises sont composées d’hommes. Le plus gros travail sera donc de mettre une égalité salariale entre les femmes et les hommes s’ils veulent améliorer leurs notes et ce n’est pas gagner.
On constate surtout que le ministère met le paquet sur l’accompagnement de ces PME mais est ce que cela va durer ou ce n’est qu’une fois encore que de la communication ? Cet accompagnement devrait encore durer une année dans le meilleur des cas car au 1er mars de l’année 2022, toutes entreprises qui n’attendraient pas ces 75 points, auront du souci à se faire car l’index étant public, cela en va de son l’image. Et surtout, la raison la plus importante, à savoir que rester trois années en dessous de ces 75 points, peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’a 1 % de sa masse salariale. Cela devrait sans doute en motiver certaine. Mais ça, le gouvernement n’en parle pas, préférant privilégier des espaces de formations pour se faire bien voir sans indiquer aux entreprises les risques encourus. L’objectif est donc une prise de conscience de chaque entreprise car plusieurs études le montre, il y a une corrélation entre mixité homme femme et performance économique.
Bertrand Ancelly
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