
La Plateforme réunionnaise transmet au chef de l’Etat un nouveau manifeste
23 avrilAu cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
13 janvier 2020, par
Cela va bientôt faire 6 ans que le vol MH370 Malaysia Airlines a disparu avec 239 personnes à bord dont une majorité de Chinois. Elles avaient pris place dans un avion devant les amener de Kuala Lumpur en Malaisie à Pékin. Selon les éléments rendus publics, l’avion a changé de trajectoire après son décollage, l’amenant à prendre une route à l’opposé de sa destination. Il volait au-dessus de l’océan Indien. Seuls des fragments de l’appareil ont été à ce jour retrouvé, bien après la disparition, et sur les côtes occidentales de l’océan Indien, notamment à La Réunion et à Madagascar.
Personne ne peut ignorer que se trouve en plein cœur de l’océan Indien la plus puissante base militaire des États-Unis située en dehors de leur territoire. Difficile de croire que les militaires de cette base n’aient pas une idée de l’endroit précis où le Boeing 777 du vol MH370 de Malaysia Airlines. Car s’ils sont là, à Diego Garcia, c’est justement parce que cette base permet à un pays, les États-Unis, de contrôler tout l’océan Indien grâce aux moyens de détection mis à disposition de ces militaires. Autrement dit, si l’armée américaine ne dit rien, n’a-t-elle pas quelque choses à cacher ? N’oublions pas qu’un avion iranien avait été abattu « par erreur » par un missile tiré du navire militaire USS Vincennes pendant le guerre Iran-Irak. A ce jour, aucune information ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle le vol MH370 a été abattu par un missile américain, l’épave et les boîtes noires n’ayant encore jamais été retrouvées... officiellement.
Ce besoin de transparence est encore plus grand après la conférence de presse tenue par l’état-major iranien. Ce dernier a donné l’explication du crash d’un avion ukrainien peu après son décollage de l’aéroport de Téhéran la semaine dernière. Selon la branche aérospatiale des Gardiens de la Révolution iraniens, l’avion civil a été confondu avec une cible militaire. Ce soir là, l’armée iranienne était en alerte à cause des menaces de guerre lancées par le président des Etats-Unis, et appuyées par l’assassinat en Irak d’un des principaux responsables de l’armée iranienne.
A peine l’avion écrasé avec 178 victimes à bord, Washington entretenait la thèse selon laquelle l’avion aurait été abattu « par erreur » par un missile. C’est la version qui a été confirmée par les autorités iraniennes. Washington a donc à sa disposition des moyens de savoir si un avion a été touché par un missile dans un pays étranger.
L’attitude des autorités iraniennes est un exemple à suivre pour l’armée des Etats-Unis. Elle doit maintenant de toute urgence rendre publique toutes les informations enregistrées par la base militaire de Diego Garcia le jour de la disparition du vol MH370 de la Malaysian Airlines. Faute de cela, le maintien du silence rappellera la véritable nature du régime de Trump.
J.B.
Au cours d’un entretien dans la soirée du 22 avrils entre le Président de la République, Emmanuel Macron et la maire de Saint-Denis, Éricka (…)
Le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge est revenu dans une note sur la période inflationniste 2021-2025 et ses effets sur le (…)
Promié tan, la kaz bann Biganbé navé dé piès minm parèy sad bann Maksimin, soman té kouvèr an tol. Malérèzman, siklone 48 la ni, la lèv lo ti (…)
En visite à La Réunion, le président de la République a échangé avec le monde agricole, durement affecté par le cyclone Garance qui a suivi un (…)
Mézami l’ariv amwin dann mon éskolarité kotoiye bann marmaye néna bone tète. Mi rapèl inn téi konpran toute pli vite lé z’ote, téi rotien toute (…)
Selon le ministre de la Santé, Yannick Neuder, "autour de 120.000" personnes pourraient avoir été contaminées par le chikungunya, maladie (…)
« Ça fait plus de quinze ans que la fonction publique est au pain sec et à l’eau » a estimé le président de la fédération services publics de la (…)
Mézami dopi somenn passé i anparl bonpé bann péshèr artizanal pars lo ministress responsab de sa lété d’passaz shé nou é bien antandi téi i pé pa (…)
« Depuis le début de l’année, six décès [...]chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya (…)
Kossa i lé sa d’apré zot ? Oussa i trouv in n’afèr konmsa ? Fransh vérité sa sé in n’afèr i roprézante bien in fèye vakoa. Zot i trouv pa ?Avèk in (…)
Le Premier président de la Cour des comptes, a menacé mercredi de refuser de certifier les comptes de l’État. « Les réserves formulées par la Cour (…)
Le président de la Cour des comptes et du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici, a mit en garde contre des prévisions trop (…)
Messages
29 avril 2023, 04:13, par Jacques
A l’époque où l’île était habitée, les États Unis locataire et les britanniques « propriétaires » de l’île ont déportés les natif de Diego Garcia pour y construire une base militaire. Ils ont tenté de cacher pendant des années que cette île était habitée par des natifs. Ils ont fait croire que l’île était vierge et à déportés les autochtones dans les îles alentours moyennant l’indépendance de l’île Maurice.
Aujourd’hui encore en 2023, les britanniques trouvent tous les stratagèmes pour minimiser l’horreur commise. Vous croyez qu’ils vont avouer avoir abattu un avion civil par peur d’attaques terroristes ou par accident. S’ils sont capables d’exterminer tout un peuple à petit feu jusqu’à ce qu’il ne reste plus personne pour protester ou réclamer réparation, ils sont capable d’exterminer tout un Boeing.