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Lutte contre le VIH-SIDA
4 juin 2014
Le directeur régional-adjoint du programme commun des Nations unies sur le VIH/SIDA en Afrique de l’Ouest et du centre (ONUSIDA RST-AOC), Leopold Zekeng, a appelé mardi soir à Dakar les représentants des pays de ces deux parties du continent à accélérer la mise en œuvre la stratégie ’’Tester et traiter’’ afin de réduire la transmission de la pandémie à l’horizon 2030.
Il s’exprimait au cours de la cérémonie de clôture d’un atelier régional de partage sur les modalités de mise en œuvre de la stratégie ’’Tester et traiter’’ dans six pays d’Afrique de l’Ouest et du centre.
’’Nous devons nous efforcer à accélérer la mise en œuvre de cette stratégie dans nos différents pays car tester et traiter une personne de façon précoce aujourd’hui nous permettra de réduire à fort taux les nouvelles infections au niveau de la sous-région", a-t-il déclaré.
"Cette méthode permettra d’améliorer l’état du patient et de réaliser une survie presque normalisée. Elle représente une arme radicale de prévention à envisager dans l’approche de prévention’’, a ajouté M. Zekeng.
Selon l’ONUSIDA, cette approche s’inscrit dans une optique d’éradication de la pandémie du SIDA et consiste à identifier l’ensemble des personnes vivant avec le VIH dans un pays donné afin de les aider à avoir accès au dépistage.
Elle a pour objectif d’une part d’améliorer l’état de santé des personnes qui ne connaissaient pas leur statut sérologique et d’autre part de réduire la transmission.
De son côté, le directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Afrique de l’Ouest et du centre, Mamadou Diallo, a indiqué que pour mesurer les progrès dans la mise en œuvre de la stratégie, une nouvelle série d’objectifs réalisables à long terme et fondés sur les preuves scientifiques est dorénavant nécessaire.
A cet effet, l’ONUSIDA préconise d’ici à 2030 d’amener 90 pour cent des personnes infectées à connaître leur statut sérologique, d’aider 90 pour cent des personnes séropositives à commencer volontairement le traitement antirétroviral (ARV) et 90 pour cent des personnes sous traitement ARV à obtenir une suppression virale durable.
Pour M. Diallo, de nombreuses faiblesses sont notées dont le faible accès au dépistage, la perte des patients au cours des soins, la forte centralisation des services de santé, la faible implication des acteurs communautaire de santé et la faiblesse du financement bloquent l’accès universel au traitement ARV dans les deux sou- régions.
En réponse à tous ces défis, les participants ont adopté certaines recommandations afin d’atteindre les objectifs des "trois 90%".
Ils prévoient dans les jours à venir d’améliorer dans leurs pays respectifs la qualité des tests de dépistage et des soins, le niveau de performance des laboratoires, d’identifier les populations-clé (enfants, adolescents, femmes enceintes) comme porte d’entrée, de renforcer les prestataires des soins et des acteurs communautaires, d’assurer le suivi des patients sous ARV et les stratégies d’appels d’offre et d’achat pour la réduction des coûts des réactifs et des médicaments.
Cette rencontre de deux jours a été organisée par l’ONUSIDA en collaboration avec l’Agence française de recherche ANRS, l’Association des partenaires de lutte contre le SIDA (JURTA) et le gouvernement du Sénégal.
Elle a réuni les représentants de six pays, à savoir le Congo, le Gabon, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et la Sierra Leone.
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