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Professeur Sheila Tlou
28 juillet 2012
Lors de la session plénière intitulée Renverser la situation dans les pays affectés : leadership, responsabilisation et objectifs, la Directrice de l’équipe de l’ONUSIDA d’appui aux régions pour l’Afrique orientale et australe, le Professeur Sheila Tlou, a fait le point sur les avancées réalisées à ce jour dans la riposte au SIDA et mis en avant les difficultés restantes pour mettre fin à l’épidémie de SIDA.
Selon le Professeur Tlou, de nombreux progrès ont été accomplis dans la riposte au SIDA. Le monde est en passe de parvenir à l’élimination des nouvelles infections à VIH chez les enfants et de faire bénéficier 15 millions de personnes d’un traitement antirétroviral. L’accès au traitement anti-VIH en Afrique subsaharienne a été multiplié par plus de 100 en moins d’une décennie. Dans 22 pays, le nombre annuel de nouvelles infections a baissé de plus de 25% entre 2001 et 2011.
Toutefois, il reste des obstacles tels que les lois punitives, la stigmatisation et la discrimination, l’inégalité des sexes, la violence envers les femmes et les violations des droits humains, qui entravent la riposte au SIDA. Le Professeur Tlou s’est exprimée sur les principales exigences requises pour renverser la situation. « Pour vaincre le SIDA, il nous faut de l’innovation, un partage des responsabilités, la réciprocité de la responsabilisation et une solidarité mondiale », a indiqué le Professeur Tlou.
Selon le Professeur Tlou, d’autres facteurs clés pour renverser la situation de l’épidémie incluent le développement de ripostes au VIH éclairées par des données probantes et fondées sur les droits, l’adoption de lois qui facilitent des ripostes au VIH efficaces, la réponse aux besoins des femmes et des filles en matière de santé sexuelle et reproductive, l’égalité des sexes et l’implication des hommes, et enfin l’utilisation de l’expertise acquise par les communautés et les personnes vivant avec le VIH.
La thérapie antirétrovirale pour la prévention Les directives OMS de 2010 pour la thérapie antirétrovirale recommandent le traitement pour les sujets dont la numération en CD4 est ≤350/mm3 et pour tous les patients atteints de tuberculose quel que soit le nombre des CD4. Les essais de modélisation des dix dernières années ont examiné les effets de la thérapie antirétrovirale sur la prévention du VIH et de la tuberculose avec des résultats variables selon les hypothèses de départ. Un modèle publié en 2008 par des scientifiques de l’OMS semblait indiquer que l’extension des traitements antirétroviraux aux personnes ayant une numération des CD4 ≤350/mm3 pouvait sensiblement réduire le développement de l’épidémie. Leurs résultats laissaient aussi entendre que les bénéfices liés aux infections ainsi évitées allaient dépasser les investissements initiaux requis. Voir les documents et la présentation sur la thérapie antirétrovirale en prévention du VIH et de la tuberculose. Des études d’observation semblent indiquer que la thérapie antirétrovirale diminue la transmission sexuelle du VIH en cas d’épidémies généralisées, en particulier pour les couples sérodiscordants. Il existe aussi des données de plus en plus nombreuses concernant l’impact de ces thérapies sur la transmission du VIH dans les communautés, en situation d’épidémies généralisées ou concentrées, y compris chez les consommateurs de drogues par injection. Mais le plus important est de délivrer la thérapie antirétrovirale dans le cadre d’un ensemble d’interventions de prévention et de traitement et pas de manière isolée. |
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