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Nouvelle évolution
7 septembre 2011, par
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a déclaré lundi 5 septembre qu’il ne pensait pas que la zone euro entrera en récession, et a qualifié l’Union européenne et l’euro de « forts et résistants ». Pendant ce temps, les bourses européennes ont entrainé à la baisse les valeurs bancaires, minées par la crise grecque et l’affaiblissement de l’économie américaine.
« Les inquiétudes en zone euro sont de retour, alors que certaines mesures d’austérité pourraient ne pas suffire, tandis que les chiffres de l’emploi (aux États-Unis) continuent de laisser aux marchés une impression de gueule de bois », a commenté Cameron Peacock, analyste chez IG Markets, au journal “Les Échos”.
José Manuel Barroso veut être optimiste
Le président de la Commission européenne s’est arrêté en Australie avant d’aller en Nouvelle-Zélande, pour le Forum sur les îles Pacifiques. A cette occasion, José Manuel Barroso s’est entretenu avec le Premier ministre, Julia Gillard, lundi 5 septembre à Canberra, avec qui il a indiqué le besoin de renforcer le système monétaire international et de poursuivre la réforme sur la réglementation financière afin d’empêcher d’autres crises économiques.
« Nous n’anticipons pas une récession en Europe », a déclaré José Manuel Barroso lors d’une conférence de presse à Canberra avec le Premier ministre australien. Cette déclaration survient après l’abaissement des perspectives de croissance de 1,7% au lieu de 1,9% comme prévu. De son côté, le FMI annonçait une croissance de 1,9% en 2011 et 1,4% en 2012, au lieu de 2% et 1,7% prévue en début d’année. L’agence de notation Standard & Poor’s a estimé mardi 30 août que les risques d’une rechute dans la récession de l’Europe se sont accrus, notamment avec la chute brutale de ces dernières semaines des marchés boursiers.
Les institutions internationales inquiètes
Le chef de l’exécutif européen a réaffirmé : « Nous faisons tout ce qu’il faut, de la lutte contre les problèmes budgétaires sous-jacents au renforcement de la gouvernance de l’euro zone ». Malgré cela, la directrice du FMI, Christine Lagarde, a déclaré au “Spiegle” qu’en ce qui concerne « l’Europe, nous recommandons aux pays d’ajuster leurs programmes d’austérité compte tenu d’une situation modifiée et d’envisager des mesures pour alimenter la croissance ». Cette dernière a ajouté que « si les États-Unis lancent un programme crédible d’ajustement à moyen terme, il y a sans doute de la marge pour abandonner les mesures d’austérité à court terme et présenter des mesures pour soutenir la croissance ».
De même, le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, s’est montré plus prudent dans une interview accordée à l’agence Bloomberg. Ce dernier a estimé qu’elle « fera face à une période particulièrement sensible ». Il a également précisé que les incertitudes pesant sur la zone euro devraient se répercuter sur les Etats-Unis, ce qui compliquera les prévisions. En effet, pour lui, les États-Unis devront essayer d’éviter « une nouvelle vague de récession malgré les risques croissants qui pèsent sur l’économie mondiale ».
Islande : l’ancien Premier ministre jugé par un tribunal pour son action politique
Le procès de l’ancien chef du gouvernement Geir Haarde s’est ouvert lundi 5 septembre, afin de répondre de sa responsabilité dans l’écroulement du système financier du pays en 2008. Au moment de la crise financière, les trois plus grandes banques de l’île ont fait faillite, alors qu’elles détenaient des actifs équivalents à 923% de son PIB. Le Premier ministre n’avait pas cédé aux pressions de la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, et avait refusé de soutenir les banques. Aujourd’hui, la croissance est de retour avec une hausse de 2,7% du Produit intérieur brut prévue en 2011 après une récession de 3,5% en 2010.
Pour l’heure, l’ex-Premier ministre qui encourt jusqu’à deux ans de prison espère toutefois un non-lieu lors du procès, misant sur un abandon pur et simple des poursuites. Pour lui, il ne s’agit que d’une « une farce politique » orchestrée par « de vieux ennemis » d’opposition, aujourd’hui au pouvoir. En effet, selon ses avocats, Geir Haarde est le seul responsable politique à comparaître devant la justice.
CT
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