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Destination Santé
23 novembre 2017, par
Les répercussions des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher du mois de janvier 2015, en matière de santé psychologique, risquent de perdurer. C’est en effet ce que montrent les premières données d’une enquête réalisée par Santé publique France et l’ARS Ile-de-France [1] auprès de 190 personnes civiles (victimes, témoins ou proches de victimes) et 232 intervenants présents au moment du drame.
Près de 4 civils sur 10 présentaient au moins un trouble de la santé mentale : un stress post-traumatique, une dépression et/ou des troubles anxieux. Les victimes et leurs proches figurent parmi les plus impactés. Cependant, des témoins qui n’étaient pas directement menacés souffraient eux aussi psychologiquement 6 mois après les événements. Par ailleurs, plus de 20% des répondants ont augmenté leur consommation de substances psychoactives (alcool, tabac et cannabis). Près d’un tiers s’est retrouvé dans l’incapacité de travailler et parmi eux, 11% n’avaient pas encore repris leurs activités professionnelles 6 mois après les attentats.
Les professionnels ont été fortement mobilisés auprès des victimes. Avec en première ligne, les forces de l’ordre. En moyenne, ces dernières ainsi que les équipes de prise en charge psychologique ont travaillé 11 heures le premier jour des attentats. Un tiers a même dû apporter son aide sur plusieurs sites. Cependant, les conséquences psycho-pathologiques sont bien moins fréquentes qu’en population civile. Moins de 10 sur 232 ont souffert d’un état de stress-post traumatique et moins de 10% ont présenté au moins un trouble anxieux. Au total, 86,3% des professionnels ont déclaré connaître une personne ressource au sein de leur institution pouvant leur apporter une aide.
© Agence Destination Santé
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